née le 11 par la région du lac Dauphin. Les détégués distribueront dans cha
tés en prenant part au Concours de
- français de l'Association d'Education. enfants ces
Tous les écoles — et en particulier lés lauréats — ne devraient
"donc pas manquer d'être présents pour
la circonstance. ;
L'Association compte sur le con- cours actif des officiers des cercles paroissiaux pour faciliter la tâche des délégués. C'est à eux qu'il appartient de désigner les percepteurs chargés de visiter les personnes à domicile; et ceci doit être fait le plus tôt pos- sible, pour assurer une bonne organi- sation et un travail efficace.
Voici ia liste des paroisses qui se
‘ront' visitées aux différentes dates,
avec les noms des délégués: PAROISSES VISITEES LE 27 SEPTEMBRE Mariapolis: J-A. Marion. Saint-Alphonse: J. Fourneau. Bruxelles: A. Larivière. Saint-Lupicin:, J-H. Daigneauit. Saint-Léon: D. Frémont. Somerset: T. Beaubien.
PAROISSES VISITEES LE 4 OCTOBRE : lle de Chênes: Rév, Frère Joseph. Saint-Joseph: T. Beaubien. Letellier: LP, Gagnon. Saint-Jean-Baptiste: J. Landry. Sainte-Elisabeth: ‘A.-J-H. Dubuc. Aubigny: +. Leblanc. Sainte-Agathe: C. Theillet. Sainte-Ande:- Juge L.-P. Roy. La Broquerie: H. Allard. Lorette: R. Bernier, : Sainte Geneviève: E. Dionne. Thibauitville: A. Doucet. Fort Garry: C. Fournier. Saint-Malo: $S. Nauit. Saint-Adolphe: N. Pouraier. Saint-Pierre: D. Frémont. Saint-Norbert: A. Bernier. La Salle: A.-C. de la Lande. PAROISSES VISITEES LE «11 -OCTOBRE
L'HON. AAC. LARIVIERE, Cort dimanche à Saint-Boniface, À l'âge de 83 ans |
MORT DE-L'HON.
AA. LARIVIERE
L'ancien sénateur du Mani- toba est décédé dimanche
Sainte-Rôse du Lac: Abbé A. Des- à l'âge de 84 ans
chambault. Sainte-Amélie:
bauit. Laurier: Abbé A. Deschambauit. MecCreary: Abbé A. Deschambault. Saint-Lazare: H. Lacerte.
Abbé A. Descham.|'
\[rivière, de Saint#Boniface, sénateür ,| conservateur anitoba de 1911 à 1917, est mort chez lui, 181, rüe Mas-
Î L'hon. Aïjhonse-Alfred- Clément La-
son, dimanche matin, à l'âge de 83 ans.
Saint-Laurent: R. P. Papprs cm 11 est passé tranquillement pendant son
UNE VISITE AU
ACCIDENT FAT VIEUX QUEBEC! DE -LA- MOISSO
s—
L'A C. F. C. organise une| Ajexis-C. Georget, de Dom-
excursion dans l’Est pour le temps des fêtes
Sask. Franco-Canadienne
L'Associa
Prince-Albert, tion Catholique vient de prendre une initiative qui lui
mérite les plus grands éloges et est
une nouvelle preuve de son patriotis
me. Les différents Comités Parois-
. iaux de la Province de la Saskatche-
wan ont accueilli à l'unanimité et avec enthousiasme le projet d'une excursion des nôtres dans la douce proviÿce de Québec, en réponse À la visite de leurs compatriotes de l'Est dans nos régions lointaines. |
Déjà des pourparlers ont été échan- £gés à ce propôs entre les organisa teurs et la compagnie de chemin de fer Canadien National Le voyage est décidé en principe; il reste à fixer les questions de détails. Le train des ex cursionnistes quittera Prince-Albert,
Fe 15 décembre pracHam, vers Hégina, où un second train sera formé si c'est nécessaire. La date âu 15 décembre a été choisie pour répon- dre au désir bien naturel de tous ceux qui ont l'intention de prendre part au voyage de se trouver au pays de * “chèz nous”-durant le temps des fètes.
Sur le parcours, des. arrêts ont été ménagés à Sudbury, Ottawa, Montréal, |,, Saint-Hyacinthe, Lévis et Québec. C'est de cette ville si remplie de sou venirs historiques que les excursion nistes se rendront à Sainte-Anne de Beaupré, le terme du voyage, où les pèlerins désirent assister à la Sainte Messe dans la nyit de Noël.
- Les billets seront bons pour trois mois avec le privilège de revenir sur n'importe quel trait régulier. Il est entendu que tout l? personnel sur le
sera de langue franbaise. !
En outre)-le Gouverrement Provin cial,- afin de faire connaitre les pro duits de l'Ouest, se charge d'équiper à ses frais un charexposition, décoré d'inscriptions en langue française, et placé sous la direction de M Michaud, agronome et conférencier du minis- tère provincial d'Agriculture.
Dès maintenânt un concours est ou vert pour trouver le nom que porters l'excursion. Tous les FrancoCang diens de la Province peuvent prendre part à ce concours,
Les arrangements définitifs n'étant pas encore terminés, il nous est im- possible d'indiquer le prix exact de l'excursion; mais nous pouvons dire
que le coût probable, comprenant le | deux résolutions passées en 1922 2. ma mere lola] arr d au ”
L
remy, Sask., est tué instan- tanément dans sôn champ
Domremy, Sask. — AlexisC. Geor: get, fermier bien connu de Domremy,
Lui survivent, deux fil- les: | Mère Marie de l'Espé- ränce, Supérieuresdu couvent du- Bon Pasteur, à West Kildonan, et Mme Charhonnegmde Montréal: deux fils: Adrien, d'Edmonton, et Atexandre, de Saint-Bonifate. —Tæs funérailles ont lièu ce matfn, mercredi, à 9 h,, à la cathédräté de Saïnt-Boniface.
Né à Montréal, M. Larivière était ve- nu âu Manitobä en 1871 comme em- ployé du gouvernement fédéral. Il devint surintendant des écoles catho- liques et membre du conseil de l'Uni- versité. - Il prit aussi une part active
a été tué instantanément pendant qu'il|; ja politique provinçiale; devint dé- travaillait à la moisson dans l'un de de aopé PcEhre et fit partie du
ses champs, le 14 septembre, vers 10 | cabinet à différentes -eprises comme
h. du matin. Une corde qu'il àvait attachée autour des épaules et qui se trouvait reljée au porgggerbes de la moissonneuse à tracteur qu'il condui- sait s'est accrochée quelque -part et Le mal-
heureux a eu le cou brisé et il était
l'a entrainé dans la machine.
mort lorsque son homme engagé est venu à son secours.
M. Georget conduisait un tracteur actionnant une moissonneuse-lieuse. 1]
dént l'autre extrémité était fixée -au- tour de ses épaules. On suppose qu'en tournant, la corde, qui se trouvait l-
che, s'est prise dans la jointure du
tracteur et de la moissônneuse. *,
|
train pour le service des VOYAEEUTS | famille Georget si cruellement éprou-
M. Gecrget a été précipité de son siège sur le tracteur et entraîné ra pidement dans la machinerie, La mort a été instantanée.
Fidèle Vien, qui travaillait pour M. Georget,-conduisait-une autre ‘mois- sonneuse à peu de distance de la sien-
. Afant par hasard regardé dans cette direction, il à aperçu. des bras et. des jambes s'agitant dans le vide, 1 s'est immétiatement précipité sur les lieux. La machine était arrètée, mais M. Georget était mort et son corps était encore ligoté par la corde.
M. Georget était âgé de’42 ans et résidait dans le district depuis une vingtaine d'années. 11 laisse une veu- ve et quatre enfants.
La Libbrté s'associe au deuil de la
vée. 2m —— —
Les fermiers-unis d’'Ontario ne feront pas la lutte
Toronto — Les fermiers-unis d'On- tario ont décidé de ne pas se mêler de politique fédérale cette atnée. ‘
M. J-J. Morrison, le secrétaire de cette association, a dit: “Nous ne som- mes pas un parti politique Nous avons fait la lutte politique en 1919 ef en 1921 pour mettre de l'avant les prin- cipes que nous ‘préconisons. Mainte- nant les temps sont changés. Nous ne prerdrons ‘pas\ part à la campagne: électorale cette année, à la suite de et
U
LA Are
nf CE UT
secrétaire provincial, griculture à trésorier. provincial. Abrès-avoir représenté Saint-Boniface à la législature provinciale de 1878 à 1889, il réprésenta le cômté de Pro- vencher au parlement fédéral de 1889 à 1904. En août 1917, l'état de sa santé l'obligea à résigner son siège au Sé- nat, Il fut alors remplacé par M. Aimé Bénard, de Winnipeg.
M. Larivière avait été l'un des fon- dateurs de la Société Saint-Jean-Bap- tiste de Saint-Boniface et dé là Société
ministre de l'a-
avait attaché au porte-gerbes une corde | de Colonisation du Manitoba,.dont il
fut le premier président. Il avait été également maire de Saint-Boniface. nl fut longtemps le diregteur- proprié- üiré du journal le "MANNObA fut lui qui changea le titre de l'ancien “Métis” en celui du “Manitoba”. —— À 2Dt-2——
Pas de chasse aux perdrix cette année
Le gouvernement du Manitoba, sur la proposition de l’hon. Albert Préfon taine, ministre de l'agriculture, a pro- clamé un ordre en conseil interdisant la chasse aux perdrix et poules de prai- rie sur tout le territoire de la province jusqu'au 15 octobre 1926.
DEPOT AS
pour résister
Régina — Le procureur général de la Saskatchewan, M. JA Cross, a dé- claré que la province s'unira à l'A) berta et à la Colombie-Britannique pour s'opposer à la demande du “Board of Trade” de Montréal qui veut faire revenir la Commission des chemins de fer sur sa récente décision au sujet de l'égalité-des taux pour le transport du grain etre l'Est et l'Ouest.
a
Ecrasé entre la locomobile et la batteuse
* Régina — ap” ER, Simpson, mécani- cie d'une équipe de batteurs à Carie- vale, a été broyé à mort entre la loco- mobile et la batteuse. ‘ Une, enquête tenue par le Dr J-K. Pomeroy, de Gainsborough, a conclu à une mort accidentelle et a expnéré de tout blà- muy ses Compagnons de fravuil.
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| Springñeld, 23 septembt
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kirk; Provencher, 26 septem Morris; Brandon, 28 septem Brandon; Lisgar, 29 septembre, à nitou: Neepawa, 30 septembre, à Ar- dén; Nelson, 8 octobre, à Swan River. AB ——
Dans le comté de Provencher
La convention des libéraux de ls
-eirconscription de Provencher se tien-
dra le 22 septembre À Letellier. On mentionne le nom du Dr J.-P. Molloy, ancien député, comme celui du can- didat qui sera probablement choisi. De leur côté les progressistes de Provencher tiendront leur convention le 26 spptembre à Morris. Le député sortant, L-P. Beaubien, sera très pro- bablemenñt.. choisi de nouveau comme le candidat du parti. a “La tournée de M. Meighen dans l'Ouest
—
M. Meiïghen parlera à Portage la Prairie le 29 séptembre età Saint-Eus- tache, qui- -fait partie de” la même cir- conscription, le: 30.. Be 1er octobre }h sera à Wionipeg. #36 là, le chef com: servateur se rendra à Saskatoon où il parlera le 2. 11 ira ensuite dans la Colombie-Anglaise et sera à Calgary le 9 octobre, jusqu'au 13 et sera de retour au Mani- toba pour les 15, k-et 17. 11 partera ces trois jours à des endroits qui n'ont pas encore été déterminés. . ‘
M: Meighen a été choisi officielle- ment comme le candidat des conser- vateurs à Portage la Prairie.
2 2 D+ 2 — ——
Bob Rogers est est optimiste
Montréal — M. Bob Rogers, l'orga-
nisateur des “forces conservatrices dans
l'Ouest, qui -étäit à Montréal à la fin de la semaine dernière, a déclaré que “les perspectives pour les conserva- teürs sont brillantes dans son pays et qu'elles s'améhHorent de jour en jour.” : Les quatre provinces de l'Ouest, croît-il, causéront des surprises. “Les gens de l'Ouest, dit il, ont perdu con- flance dans les progressistes et les libéraux.”
Selon lui, les provinces des prairies reprochënt à M. King ses dépenses
nomie et mettra un frein ‘à l'émigra- tion des nôtres vers les Etats-Unis. “Les progressistes, dit-il, ant perdu la confiance populaire par leur oppo- sition molle aux projets êu gouverne- ment. È ADR
M. Massey est nommé ministre Ottawa — M. Vincent Massey, pré- sident de la “Massey-Harris Co.”, vient d'être nommé ministre sans porte-
feuille dans le cabinet King. M. Mas- sey se présentera dans un des comtés
| Les provinces s'unissent |ae Toronto. ARR
——— 2m 0 Le nouveau cabinet de la Nouvelle-Ecosse
Fredericton — Le nouveau gouver- nement Baxter a prêté serment. Il est composé comme suit:
Premier ministre et procureur état. ral: J4B:-M. Baxter, KC.,, DCL, PC, Saint-Jean. |
Terres et mines: (.-D. Richards, Fre- dericton (York). (À;
Travaux püblies: D.-A. Campbelton (Restigouche).
Agriculture: Lewis Smith, Clover- dale (Albert).
Hygiène: Dr H.-k Taylor, St Geor- ge (Charlotte),
Secrétaire et trésorier provincial: A-J. Léger (Westmoreland).
Président du éon$eil: L-P.-D. Tilley, K_C., Saint-Jean.
Ministre sans portefeuille: E-A Reilly, KC., Monctou (Moncton).
Stewart,
H1 restera dans l'Alberta |}
Sd nee 7
LE R. P. JOSEPH BLAIN, 54,
décédé à Montréal, après avoir passé
% ans au Collège de Saint-Boniface
LES INFLUENCES DE L'ÉTRANGER
Les ‘(Canadian dian Clubs’ cons- tatent leur action perni- cieuse sur notre x té na- tional Port Le pu Tous les orateurs À
la treizième conférence de l'Associa-
tion des “Canadian Clubs” ont insisté sur-la nécessité d'empêcher que l'ei
dien. Pour résister, dit-il, il fant que nous gendions de plus en plus fort po ÿ
la population. 11 faut agir fortement et sans plus de retard, at-il dit, et rendre solides nos relations 2vec ‘lès autres parties de l'Empire.
Le lieutenmt-colonel C.-R. McGui- lough, d'Hamilton, à dit que la coopé- ration esi la chose la plüs nécessaire aujourd'hui pour L peuple du Canada. 11 nous faut abandonner l'individualis- me qui nous détruit et cultiver l'esprit de fraternité. 11 a souligné parmi lès points faibles du mouvement des kCa- na Clubs” ile manque de cohésion et l'indifférence à l'égard des citoyens de langue française du Dominion.
M. F.-0. Long, de Winnipeg. a admis que. le mouvement créé par les “Cana- dian Clubs” faiblit. Il a suggéré un système de propagande pour en réta- blir la vigueur. :
Prirent aussi part à la discussion: Mme Claude Nash, présidente du “Wo- men’s Canadian Club”, de Winnipeg, et Mme Edward-B. Savage, présidente
exagérées et elles veulent un gouver- jou “Women's Club”, de Montréal
national canadien dans,tonte !
ML Patenaude à fait la déclaration
“Depuis quelque temps, les journaux me mettent presque en demeure de
Adéclarèr si j'ai l'intention d'entrer dans | fa politique fédérale. Le public a droit
À des détlaratiors de ma part; j'auruis voulu les faire plus tôt. si la chose pût été possible et convenable, È
“J'admets le fait; de vives instances ont été-faites pour m'engager à entrer dans l'arène fédérale.
“J'ai donné ma meilleure attention aux raisons que l'on invoqué, et j'ai consulté.” J'ai da tenir compte aussi des liens honorables qui m'attachent aux électeurs du comté de Jacques- Cartier, et de la cause provinciale pour laquelle mes collègues de la députa- tiof et moi-même ‘avons travaillé en- semble, sous la direction du chèf infa- tigable de l'opposition.
“Cependant, le pays est dans la dé- tresse. Un gouvernement sans majo- rité a, pendant quatre ans, aggravé d'année en année le malaise &énéral, ‘et les surprises d'une politique sans boussole ont fait fléchir les énergies et arrêté le développement de la
| “Je dois perle que HU et en: j'entends résier assez indépendant
pour ne pas donner mon appui à une /
politique que@je croirais désastreuse «] pour le pays, d'où qu'elle vienne. J'a- jouterni que je ne suis lié À aucune coterie financière; ou industrielle, et que Je reste lÎbre de servir les intérôts généraux du Canada.
“Je suis prêt à travailler pour la reconstitution le avec tous les Canadiens de bonne volonté, à quelque parti, à quelque race, à qu le croyan- ce, à quelque province qu'ils appar: nent. Je veux m'unir à eux, êt j'espère que le 29 octobre prochain; ofi pourra constater qu'ils sont encore l'immense majorité dang'lé pays.” .
Fin de l'incertitude
Cette, déclaration officielle et défint
tive de M. Patenaude fait cesser une
_[U6n; le” poids des impôts devient -| plus en plus difficile à supporter; ode des nôtres aux Etats-Unis esi alar-
faibiit, l'unité canadiefne est Dis,
te -se sc i Me
pour l'avantage de toutes les parties du pays. à
“Je crois encore que les principes posés par Cartier et MacDonald, et ap- pliqués avec sincérité, constituent ia meilleure £arantie dé notre
“La situation appelle tous les hom- mes de bonne volonté, et l'on me de-
REGINA — L'action en dommages -bour libelle intentée par Aaron Sapiro
naude pose plusieurs questions, dot la moindre n'est Das celle de la direp- tion suprême du parti Conservateur dans la province de Québec. .
M. Monty voudra-t.l rester chef, ou passerai] là direciion à M. Patenan- de? On sait que M. Paténaude fut mi- nistre à Ottawa plusieurs années àvalit M. Monty; celui-ci ne le fut que pen- dant deux ou trois mois, en 1921; À lu à de la défaite de M. Meighen, et ne parut jamais devant- la Chambre des communes, tandis que M. Patenag- de détint un portefeuille assez impor- tant dans le cabinet Borden et parüt. à la Chambre des communes pendant
üñe couple de sessions, On dit aussi,
dans les cercles conservateurs, que M, Meighen apprécie fort M. Patenaude., teur de l'Université Laval, le titre de protonotaire apostolique.
MONTREAL — Les récents. jncdn-
L'entrée en campagne de M. Pate-
dies qui ont eu Heu à Montréal étélent
l'oeuvre d'un fou qui vient d'être ra- mené à l'astie de Longue Pau ge il. avait réussi à s'éc
Fez — Les Français prétendent
avoir capturé toutes les positions stra-
tégiques que les Riffains occupaient ayant la dernière offensive. De plus, on dit que ce succès a été obtenu avec un minimum ‘de pértés. Ainsi, les Français n'ont eu que 30 hommes mis hors de combat lors de la capture de Bibane, la plus forte position des Rif fains.
Dans le secteur de Tafrant, lartil-
lerie et l'aviation boinbardent la tribu } Indes Orientales l'hiver p Ben Ahmed qui avait envahi le terri- faire l'ascension d'une
toire des Boubanes parce que ces der- nierg, ont fait leur soumission aux Français.
On fapporte que le Î19me corps a quitté la région de Tsoul qui a été laissée aux soins de la tribu de Se- naddja. : L'ennemi ax transporté toutes ses ‘tuaiticns plus au nord,
Il a neigé dans l’Alberta
Calgary — A la suite d'une journée pb re avec le thermomètre à 76 ée- grés au-dessus de 1éro, Calgary a été pris subitement nar la première vague de froid de la saison, mercredi matin La température est tombée à un demi- point de la gelée. Il à pla abondam- ment, pendant la nuit et cetie pluie s'est changée ensuite en épaisse neige bumide. .Tegte im prorince à eu de la pluie et de ts peige. 1
l
contre le “Leader” de “Régina et le “Star” de Saskatoon se plaide à Ré-
MELVILLE, Sask. — L'hon W-R. Motherwell, ministre fédéral de fa-
griculture, a 616 nommé candidat lihé- |
ral pour la circonscription de Melville.
SASKATOON — James Cassels, de Churchbridge, est mort à l'âge de 103 ans. ‘Né en Irlande, il était venu au Canada il y a un siècle.
VANCOUVER —Lexpiorlieur Frank Buruett, de 70 ans, doit aller aux pour
te monta-
BERLIN — L'Allemagne compté 46 villes de plus de 100,000 habitants. Ber- lin et Hambourg ont us: d'un million d'habitants.
VANCOUVER — I] y a eu une extra- ordinaire invasion de corbeaux, cette année, en Colombie-Britannique.
VICTORIA — Le premier ministre Oliver a déclaré que si les intérêts de l'Est parviennent À faire établir les taux de transport plus bas pour le grala exporté à la séance de la Coin- mission des chemins de fer, le gou- versement de la Colombie-Britannique en appelléra immédiatement au Con- sell privé.
QUEBEC — Sa Sainteté Pie XT & TE
PRE:
QUEBEC —--Le 22me régiment a 2. lébré, le 15, deux grands anniversat | res: le dixième de son arrivée en
France et le neuvième de la. mémors-
ble victoire de Courcelette,
QUEBEC — M, provincial de l'agriculture, a été nom mé commandant du Mérite agricole de France, l'ordre le plus élevé que de gouvernement français puisse accorder dans cette catégorie.
WASHINGTON — Le “Bureau of
Standards” a produit du papier fois
avec l'esparto, plante sauvage d' que, Le résultat a été bon.
WORCESTER, Mass. — Deux hom- mes ont été électrocülés en qua jours par leurs appareils de ra Leurs antennes sont tombées -sur 03 fils chargés. j CHICAGO — La bibliothèque Et + que de Chicago prétend qu'elle ak
JE. Caron, ministre
plus grande circulation de Uvres dañs
le monde, Au cours de la dernière an- née financière, 10,613,978 volumes ont
a —
PARIS — On a pu entendre à
Arts Décoratifs, uh instrument tout‘à:
fait nouveau, “l'orphée-violon”, toire, ment à clavier.
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Ua md | mar: #+ 3 h La Coopérative des grains grossiers | Régina — Les directeurs de la Co: _ |opérative de la Saskatchewan ant dé: ss : (Loidé d'inaugurer le 21 septembre la J.-J.-M.
nes
i ge, ps lin LE se à pére ass zie, Québec, et porter l'indication sui: Fournitures pour églises catholiques tot Sais ee.
Linitiai sur ces grains sera, à Fort Wik Falte: "Concours de pofsie, 16 rue pnèn Ovest, Torento : * Saint Monrace am: avoine 2 CW, 34 sous; orge! PRO LA ADS MMA (Et mn à
% | à | AS 7e ’ ” dog A ppt 2 CW, 70 sous; Le truc des queués de loups es k DENTISTES .
Zu pouvoir, n'a pas prélevé moins d'un < 4 , $1.50, nl fé
_miliion de livres pour son parti, grâce
Alta vente de ces Avant la der-
h
: 28
Rome — M. Mussolini a décidé que, tous les deux mois, durant une
ñ
« rai 1 Bandon, Man. — On a découvert di F CARTES PROPESSIONNEULES || | Dr JONCAS { pus vigoureusement au développement veur fes hit ‘orphelins laissés par le L’exportation du blé-en août -
été à Brandon le truc ingénieux grâce] DIVERS DENTISTE CANADIEN/FRANCAIS nière loi qui fait un délit du trafic des | an national Ptit général Mangin, est tout à l'honneur . ‘| auquel 'les Indiens de la réservé dé|— Dé l'Université Northwestern de Chi- Miro presque n'importe qui pourait |, cer les 0 de À et ac de cetie admirable famille, sur laquelle Ottawa = Plus de 15 millions de | Griswold, Man., percevaient à volonté
devenir baron ou lord pour 80,000 11
voici quelques détails:
, é f Cago, sollicite la clientèle cane- ; HOTEL FRONTENAC . dienne-françaire. ] sonne ne sera opprimé. \ boisseaux de blé ont été exportés du |la-prime pay6é par la municipatité pour Î
Ù | Te t 1 FE , WE: “ res Celx peut ne faire encore, croit | Ce qui ne vont inéma n'en: | . *: Mansin, préfet de police sous W | Ganada en août dernier contre 13 mit] chaque loup abatta. Le truc consis! ir RS «469 # Lu Sa ERIPICR put WINXIPEG À capneag cod v30quhred: prepa gldur: mare p meta um sûtité ex: | tait tout simplement à fabriquer, à mê: 2 gl de à Minseadaaues =. ; rom pas à se plaînäre qu'on les fasse lions en août 1924. : De la quantité ex ut s nt quer, à mê: | Win : ‘moyen d'antidater l'offre d'un an avant L'aïné des fils devint colonel du 2me
nipeg Repas à là É: , Chambres ac
roms a payer sur un produit qu'ils ne consom- portée le mois dernier 10,972,000 bois! | medes peaux de louveteaux, les orail: [simples et doubles. Sati
À : . insi, d t rtain t À Neuf aumôniers Franciseains sont Pure les filles, deux se marièrent, Beau succès de dix familles PTS er 0b Ds: ©: SPP TS
asser de leurs membres inutiles qu'en pourvoir d'argent avec peu de peine!
les casant à la Chambre des lords.
VITRAUX D'EGLISE || """""" #"Venareat ul" "4
» É aate QUAI — Faits
vendredi #0 En haut de lt pharmacie McRuer
assurée 2 ci eouaves, puis général de division -et # llles de loups dont la production est . int] r "Dr de ment pas. Ê seaux sont allés à la Grande-Bretagne; E h Lato Île Frères 0 RITCHIE
| ss M: R Altham, correspondant naval “ae _ [moment au Mexique; le deuxième, chef | à 655 600 passant par les ports des | exigée de quiconque réclame une pri 161, NOTRE-DAME EST, À re S DENTISTE
| fu “Mornipg Post”, a émis un point de L' Maroc de bataillon de souaves: le troisième | Unis. we pour avoir tué un loup. : | (huh , ) 1414. ave: Frbuiaèhes, Sälat-Routtnve | ue analggue, soutenant que par- aumônerie au "L. enira dans les Vorêts et devint inspèec- Les Indiens de Griswold ad © PR ARE PAROI ESPN DEEE PL Molies Es 0 4 9 rm "AE | Mis politiques ne pouvaient se) débar- teur à Alger. EE ef off à | . pm. |
{
sur Je front de bataille; ce sont les | ont l'atnée avec le colonel Maury. La] mennonites dans l'Ouest
J Tontéfois, 1] bre extraordi PP. Yves Blanchard, Antoine Combes, gs F es
; des artist | ne ma Nes OT Dent Dates 1 troisième fille entra en religion et de- es d'oreilles de loups:présentées finit par ca : paf artistes com- D DS en LT: projet s k pao!, re, | vint supérieure d'une maison du Sa-| Dix famillés mennonites, earrivées | jyspirer ‘des soupçons. Le truc fui -T.P: CIE L=Burèau A6700 Rés: N 1642 { _Le ho. vadg et de M. || en Jaouén, Théophile Lampertt, Ju: | eré-Coeur, à Bordéaux. dans l'Ouest en 1914 sans le sou peu! | éventé. Trois sauvages et une squaw 5-19, Perreaul AGE : Dr A.-W. HOLDEN yes ce | rebond gg oi Den png ed ténéral des forêts, pè-| vent, à la te ra sTRrc) “ plaidèrent coupables et sont aujour. * DENTISTE Eh, Sa are grd çois- . re du général Mangin, eut huit en:| profit net de $40,000, grâce à leur Cul: | G'hni sous te coup d'une sentence sus! ‘paris — Le projet dé budget de M. | prets à les suivre au besoin. A l'ark! fants._ L'aîné, Henri, fut tué au Ton: |{ure,- annonce M. Herzer, gérant dé péndte d'un an de Prison co ss, RC -—“Oailiaux-pour 1926, tei-qu'ii a été dis: | ar à aumôaiers assurent le ser. | wi ee PR ï i ; peg Wiboé bres de la commission rière, Cinq aumôaiers assurent le ser: | Win comme lieutenant d'infanterie co- | l'Association de colonisation. Ces fa aux mem com Yice religieux des troupes et celui des |jonimie. Le second est celui | milles ont acheté 8,200 .acres à Hers: N L | <auh finances de 1n Chambre des dépu: |Hopitaux militaires: les PP. Colombfé : nage oP-que ouveauCAFE OLYMPIA ss 4: AE Moto quo lus VINS ve chi ‘|aue la France pleure. troisième, | chel, Saskatchewan, pour #2, AVE. PORTAGE Dr JARJOUR Û
"tént à mülions de francs et les Tfécéttes À 32,600 millions, ce qui laisse ‘uh ‘aéfieit apparent de 3,440 millions
‘WOM'Câlirezx explique qu'il arrivera à
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: province de Québec, le Père Joseph Blain fit
ciat fini, son juvénat terminé, il fit ses études
. su Scolasticat de l'immaeulée-Conception, et en 1885 il était
un des pionniers du Collège de Saint-Boniface:
s
ét les lettres. Dès lors, dans ses nouvelles fonctions, le zèle
et le dévouement envahirent l’homme tout entier. Professeur |: “conseiencieuk, clair et érudit, ses élèves encore aujourd’hui.
‘assurent qu'ils l'aimaient bien. Ils ont gardé de lui le souvenir de sa mansuétude qui n'excluait nullement les saillies et la vivacité. L dE ? Après cette épreuve des collèges, grâce à laquelle la Com- vagnie de Jésus trempe ses jeunes religieux, ses supérieurs l’en- voyérent faire sa théologie en Añgleterre. Il en rapporta une science profonde et étendue, mêlée cependant d’une certaine … crainte qu'il garda toujours de diminuer ou d’altérer en quelque manière la vraie doctrine. Cette tension de son âme vers la vérité se reflétait sur sa physionomie, sur tout son extérieur, et c'est elle parfois qui l'empêchait de trancher certaines ques- tions qu’il aurait pu facilement résoudre. À son retour d'Europe, après uñ court séjour à Montréal, il prit définitivement la route de l'Ouest, Remarquablement doué pour prendre de l'influénce, vingt-cinq années durant il fut
professeur de sciences au collège, à la grande satisfaction des élèves, et vingt-cinq années durant il fut l'idole de toute la
population de Säint-Bouiface. Foncièrement bon, no d'une bonté familière, preuve trop souvent de faiblesse et sa rar niais d’une bonté fine; distinguée, que faisait encoré ressortir:amie politesse" éxquise, “le Père Blain savait gagner tous les coeurs. Rien de guindé chez lui, ni de recherché. Il était bommè de devoir dans toute .. la force du terme, religieux scrupuletsement observateur de la règle et rigoureux à lui-même. - Son âme était limpide comme ‘un cristal. Sa délicatesse de conscience transparaissait dâns son urbanité si prenante, dans sa mapiêté à la fois respectueuse
et courtoise dont'il traitait le plus humble de ses intéHoeuteurs,
ne songeant qu'à l’âme, reflet de Dieu, qu'il ne cherchait qu'à aider et à relever. ; | | Ce sont ces qualités si rares d'intelligence et de coeur qui Jui valurent, comme représentant du collège à l'Université de Manitoba, une si grande cmprise sur tous ses collègues, et au . printemps de 1921, après trois années d'absence, le titre de docteur en droit (honoris causa). C’est ce charme qui lui gnait irrésistiblement toutes ces sympathies, qui lui permit .en 1910 d'organiser le 25me anniversaire de prise de possession dù collège par ‘les Jésuites, et auquel tous les anciens répon- dirent avee un ho present C'est cette bonhomie aimable qui le rendéit si chier aux siens, dont il faisait la joie par sa conversalion instructive, savoureuse. et toujours pétil- lante d'esprit, d "} EE
À Edmonton, où il a enseigné la philosophie, pendant les cinq dernières années,"il a épuisé le reste de ses forcés. ;
Sa vie tout entière fut droite. It voÿait grand et baut. Il avança souriant dans le sillon tracé par la volonté divine, chan- tant danñs ses oeuvres et par ses oeuvres læ gloire de Celui qu’il
.‘@imait par-dessus tout. Maintenant qu'il est mort, témoignons-
o
ù Pa.
nos prières.
MENTALITÉ ET © MENTALITÉ
. Dernièrement; dans la ville
Winnipeg: “Choisissez et n'ac- ceplez pas les peur ermés, car i
nous aurions lieu de nous re- pentir”.
d'Angleterre, nous aimerions à
de Québec, il s'est passé un [ail ui nous laisse: songeur. Le commissaire général du Cama- da à Londres est venu apper ter, au nom de la ville d'Has- tings, l'écusson des rois de Fran- ce enlevé des portes de la vilte de Québec, il y a ure'couple de siècles, par les Anglais vain- queurs. |
autorités de la ville, te Com- missairé général a dit les paro- les suivantes: “Lors de la gran- de réunion au cours de laquelle on m'a remis cèt emblème des rois de France, j'ai élé chargé de vous dire que la viile de Has- lings vous remet cet écusson avec ses sentiments d'amitié et de réelle aftolion. qu'elle le rend avec le désir intense de voir l'amitié et la fraternité ré-
pandues par tout l'Empire..."
On parle beaucoup d'immi- rants britanniques et l'on s'ef- ur de les amener ici. Le dé- sir est naturel et légitime chez vos concitoncns. Cependant toul ce qui vient d'Angleterre n'est pas également désirable pour ce pays, et la dure expérience des réalités a fait dire tout derniè-
-cement à un grand journal de
ère
En remettant cet écusson
voir immigrer au Canadu la mentalité des citoyens de la vil- le d'Hastings renvoyant l'écus- son des rois de France arraché autrefois des portes de Québec. L'écusson royal doit être res- pecté, mais bien autrement res- poe devrait être ne légis- ation qui porte la signature royale: Tel était l'Acte de Ma: nitoba garantissant à la mino- rité Re l'école catholi- que et à l'élément francais l'u- sage de sa langue. Comme au- trefois l'éeusson des rois de France! fut arraché des portes de la ville de Québec, la signa- ture du roi d'Angleterre fut rayée d'un trait de plume de l'Acte de Manitoba par la Légis- lature manitobaine.. : : Pour que des cérémonies comme celles qui se sont dérou- lées sur l'esplanade de Québec aient quelque chante d'être pri- ,ses au sérieux, il importe que l'Acte de Manitoba reçoive les raccommodages nécessilés par les accrocs de 1890 et de 1914. La nopuülation manitobaine ne serble pas prête à pareille réparation gi a lui souhaitons la nr: ntalité des citoyens d'Has- line: renvoyant à Québec l'é-
st
3 4 FR : ’
Pendant sa régence, il enseigna tour à tour la gfammaire |
: En attendant de bons colons|1
de khaque élève? Si tous nos
pe 1
ll ne s’agit pas de diminuer L'importance. consultations électorales ni des devoirs qu'el- rs entraînent; mais il est bon
se prémunir contre une agi- tation factice et un emballe- |
ment iniustifié. Les divers pro- grammes ne comportent que des différences de détails et au- cun d'eux ne met en danger les bases de la société et de la pros- périté canadienne. ‘Aucun non plus n'apporte de solution. au problème vital de la minorité française, . Quel que soit| le vainqueur au lendemain du 29 octobre, les Franco-Canadiens
de l'Ouest auront devant eux les
mêmes difficultés à surmontér,
iles mêmes obligations à rem-
plir. La vraie lutte pour eux, c'est: autour e A e dr ésfengagée.Z Voilà pourquoi la Jéurnée A Ans raies d'E-
ducalion, si ee n'offre pas le
même attrait piquant, préocèu- -patriotes du Manitoba tout autant que la bataille élec- torale. .
Cette Journée a eu lieu di- manche à Saint-Boniface avec
entrain et le. succès habituels. Elle
se poursuivra le 27 septem- bre et le 4 octobre dans les di- vers centres de la province. Une organisation comme la nôtre ne peut fonctionner avec régularité et efficacité sans le sècours d’un budget. Les prêts
‘aux normaliéns et normalién-
nes, les cours a 4 Pai- de aux écoles libres, le concours de français, la visite des écoles, les frais généraux d’administra- tion absorbent chaque année une somme respectable, Les fonds de l'Association sont gé- rés avec une grande prudence et aucuv déboursé n’est fait qui ne soit jugé strictement néces- — au but qu’elle poursuit. ien des projets intéressants doivent être remis faute de res- sources suffisantes. nn Dans quelle mesure les Cana- diens du Manitoba ont-i!s con- tribué financièrement à l’oeuvre uier congrès, une voix autorisée rappelaii que la moyénne de leur apport annuel était de sept sous par tête. Ce chiffre, nous semble-t-il, pourait être facile ment relevé, et personne n'en scrait plus pauvre au bout de ’an. En fait, quelques-uns des nô- tres supportent vaillamment de lourdes charges pour la cause du français: ce sont surtout ceux qui ont à spdtenir des éeo- les libres paroissialés. Pour- quoi ne pas citer, par exemple, les paroïissiens du Saçré-Coeur de Winnipeg, dont chaque fa- mille verse douze piastres par année pour l'éco'e, en plus de la cotisaiiun mensuelle exigée
compatriotes avaient à coeur d'accomplir semblable effort,
nous aurions en caisse l'argent
nécessaire pour infensifier no- tre action et marcher résolu- ment de l'avant.
Grâce à Dieu, nous venons d'être gratifiés d’une bohne ré- colte et l'avenir sourit à nos cul- tivateurs.: C’est le moment d'é- tre généreux. Que chacun s’ef-
force de ug peu plus qu'il n'a fait jusqu'iet et le résultat
sera tout brave pop * Donatien FREMONT. 77600 -2——
WASHINGTON — Le département de l'agriculture fait ,çomnalire qu'il x a dans les fermes américaines 550,000 apparetis de radiotéléphonie contre
cusson des rois de France, El 263,000 l'année dernière:
‘la reconnaissance de bien des familles.
nous n'avons jamais eu moyens d'envoyer nos files au couvent et qu'elles ne peuveñt donc pas être ins- tiiutrices, que vont-elles faire en atten-
dant le mariage? “Voyageur” n'a sans |
doate pas l'idée de ce que céla repré- sente: trois personnes, trois grandes
filles dé trop dans une famille qui.a |
déja peine à joindre les deux bouts. Trois de mes filles t donc allées travailler en ville. Elles y vivent sa- gement, si nous en croyons leurs let- trés, lés rapports de gens qui les con-
vent pas être l'exception, nous payons petit à petit des'dettes qui languis- saient depuis des années. .
Est-ce à dire que je ne préférerais pas mes filles près de moi, s'appliquant aux bésognes familiales ou à quelque ‘petite industrie domestique? ‘Oui, mil-
le fois oui! Mais quelles sont, au Ma-
nitoba, les petites industries domesti- ques payantes?
Si “Voyageur”. peut offrir au problè- me, dont je reconnais avec lui le côté désolant, une soletion avantageuse et pratique, il s’assurera, j'en suis süré,
comme la nôtre, nombreuses et pas riches. È /. UNE MERE DE FAMILLE.
‘ Elles méritent toute notre sympathie .
“Voyageur”, que le train räpi de minuit ramenait à la’ capitale, n'Avez- vous pas été victime d'un mauvais rêve? :
Le désolant alarmiste “Voyageur” at-il pesé ses idéés, vérifié ses ‘asser- tions, séparé le bon grain de l'ivraie?
Ne sentant rien qui-me pousse à suspecter sa sincérité, je fais crédit à ses discours et lui accorde, en toute justice, le degré db confiance mérité.
Faire pluË âmple connaissance de sés trois voyageuses nous aurait éclai- rés sur leur état d'âme. .“ Voyageur” possède le sens critique mais n'a pas l'esprit d'examen. °
J'imagine trois jouvencelles coura- geuses, simples et candides. Oh! la simplicité et la candeur qui font tout
campagne! . Done, trois tombées du nid, en proie aux dures exigences de la vie. La nécessité absoijue leur fait chercher un abri. :
Certes elles ont subi le mirage la grande ville. Chacun a ses ambi- tions à sa taille. Muis l'odieuse com- Paraison! Craintives, -blotties l'une contre l'autre dans le compartiment qui leur paraît grand comme un mon- de, déjà elles se rendent comptent que la perspective est trompeuse.
Ecrire pour elles est osé, semble mê- me téméraire. Bien peu peuvent com prendre les exigences de leur état, la somme de force qu'elles déploient dans leur faiblesse, et l'espèce d'excuse qui adhère à leurs défaillances.
La pitié qu'elles exigent devrait être une réhabilitation ét il n'est pas d'hommes “polis, £galants, chevaleres- ques” tels que “Voyageur” qui puis- sept passer près de ces besogneuses sans baisser chapeau. 7
Elles n'ont pas, en effet, le prestige d'un rang pour défense, leur subsis- tance est chose tissée par leurs doigts fatigués; mais elles sont les ouvrières de leur jeunesse et lés faïiseuses de leur avenir. :
Ces titres ne, devraient pas leur va loir l'injustice dont les grands, p'ein- de morgue, les accablent. Sil.y a quelqu'un, du contraire, à couvrir d'un voile sûr, souvent malgré ses erreurs
de
. [c'est bien la faible, l'humble, l'impuis-
sante ouvrière. ”
Quand vous les rencontrerez, sur les trottoirs brûlants de la grande vit le, se rendant ày ra vail les attend un - dur er, luez-es, ellë sont vos soeurs! ge rianies, oubliant au grand vet les ta-
naissent et l'argent qu'elles envoient | |régulière-nent chacune à la maison. Grâce à ces braves enfants qui ne doi-
sets | 3% enseigné ensemble comme un dien”. Cet état de choses est un 464 | CI élèves. eù Angleterre, È aux “Canadian commencent par l'uistoire d'Angleter- à Fidel qui re. © fon loue @ d'abord + à etes vulbsnsnt ‘Pourquoi ne ee Fr chnimg dan « cela au Canada: commencer à (que semble appoler le résultat de la | °nseisner aux enfañts canadiens l'his- ie «.. … Îtoire du Cannds, l'histoire dé notre [ans des corses portes (Mr | Pendant quarante ans nous avons | Vous jmaginogs que c'est © qui ve enseigné, au fait dans tout autre pays du monde: 3 ques, membre l'assemblée législa Capada et le canadianisme … Si les gé- le fait parce que c'est le vrak tive, ministre provincial, député nérations grandissent maintenant sans | Loven de poser fondations d'une sénateur. . Depuis 1917 : gs + ral, enfin s'occuper beaucoup du Canada. de son | 4ndition nationale. santé retenait confiné à : de sa santé le = atenin de son idéal, de sa vie natio- EU ranison, mais il continuait de Sinté-| 5. { de sa destinée, qui est à bis- : Le malhéar au Canada est que € , resser aux affaires du pays. . | mer? . £énéretions qui grandis- | Qui Constitte la vie nationale n'a ja- C'était un esprit cultivé, un homme! du tout. La culpabilité re. mais été placé là où 1 aurait 48 l'être: distingué et un causeur spifituel Ces} ne qui ceux qui ont donné l'enset [chez nous Nous hvons décidé que no- dernières années encore, bien que du} nent. propre Cour Suprême n'était pas
rement éprouvé par les infirmités de
Il avait des vues personnelles très jus | téressant. pour ceux qui ééplorent tes sur le rôle de là presse et suivait | manque de conscience x d'un oeil sympathique les progrès de|;e procurer les livres la presse française de . lies t Nous prions les enfints de: T'hono- rable Larivière d'agréer Vexbression
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trois ans en Europe. Notre compa- triote a poursuivi des études médica | toire de leur pays. Il est également
et d'Angleterre. port d'excellentes imnressions de la France . mm. d'instruction Sir Frederick Dutton,
Cowme apparence, ML Creràr ! mé
du “gentilhomme campagnard”, un M
Vancouver —-Emmy Fandèr. jeune | Danoise de Briercräst, Sask., venue au} En pays il y à cinq ans, s'est rendue à Le
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fiancée par correspondance, Elle à été trèd surprise de constater que son tu- cur mari était un nègre. Depuis an jénviron elle correspondait avec Jui,
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fer Jui à offert généreusement
let. à moitié prix l'on est oppositionniste, jusqu'au mau-
vais état des récoltes; et, d'autre part,
me simple læwigrant irisndaie, enns
le sou et sans mét:- Aforce d'éter-
à £ie e1 de courage, et doué d'une-intet- témoigner sa reconnaissance pour la}trer comme quoi le pays est prospère, er! : |
pilotait Gray. montait dans son “car” onu qu'elle en . ! descendgit, Gray n'hésitait pas à faire | et 508 gouvernement fout pousser dans | attendre les voyzgeurs pour aider sales Provinces à blé, tandis que les cak
ou pour la conduire jüsqu'au bord du | de (fois et de légumes, dans l'Est? M
trottoir. * Meighen n'a pas de chance. “Voyez ‘ ss C'est la fille de Mme Ward qui a|1l2 récoite: yive King!”. crieront les!" ne 200 er PAPE RS écrit à Gray pour lui faire savoir que | ministériels Allez réponère à cela! | Le professeur — Habituez-vons done | sa mére, en mourant, avait exprimé ps s à ; À faire convenablement sentir ics à
le désir de lui faire don de 340,000. . Ceux s’en vont sons en parlant On ne dit, pas:
| — 200 — ; La Presse 24 fat un braft” comme si “un” : Li. H. Turcot reprend son geo orme | wait par un h; on fait sentir lo to » trefois. et c'est comme qui est} prébède, et on di: “Cols fa a
cours à l’école Normale arrivé aux Communes Durant :sguet-|breit” Cofapfénesvous? on Saskdicon — Les cours d'école Nor: re s accepté un portefeuille dans je |. ne nn es
male viennent de s'ouvrir avec 154|cabinet unioniste, et depuis l'arrivée! à féut y dire à votre " élèves ponr la session de 33 semaines | de l'ion Mackenzie Kicg au pouvoir. | “Sept et trois font o22", où “Ienl | e: 180 pour cellé de 15 semaines Cek |on lui à offert, en plusieurs circons. | t'onse"? ‘ 4€ de 27 En RE emma À bare aetadememathedhe vus 9: Le professeur — Il faut dire “ss FE it mit M, : SN R Ld trois féét l'onse” sans héater: 4
us
| seuté assez bien l'idée duos se fait
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fl prononça, au nom de tous, une sorte de consécration pæblique.
Les médecins militaires qui se trou- vaient là dirent, paralt-Al: “On n'a ja- mais, vu un pareil fanafique!”
Pour rester soldat +» On sait qu'à la suite de ses blessires lé général de Sonis eut la jambe gâu- che coupée.
Après l'amputation, il se trouva dans l'impossibilité de monter à cheval, lé membre amputé ne pouvant supporter va appareil qui permit à l'énergique invalide de se méttre en selle.
Désolé, 11 consuilta plusieurs spécia- listes, qui lil déclarèrent que le seuk
moyen d'obtenir ce qu "1 désirait serait | -- de jcouper la ‘jambe une seconde fois |
et un peu plus haut. Tous, d'ailleurs,
le dissuadèrent d'en-venir à cette ex
tréinité. Mais lui n'était pax Homm)
à reculer devant la souffrance. J1 voy- tréster en x | der .et pour. (cela 11 fait qu'il n | het À cheval. 1
se fit donc amputer à nouveau, et il
supporta cette horrible souffrance ayec
un courage qui ne se démentit pas un instant. | ‘Devant la Commission d'enquête Quand la paix fut définitivement ré- tablië, quelque temps après la Com- muneé, on nomma, dans le pays, une
Commission d'enquête, afin de suivré
et juger les événements de la guerre.
Plusieurs des commissaires semhlè-
rent reprocher au général de Sonis
‘ de s'être exposé aux coups de l’enne-
mi, à Loigny, avec une bravoure trop impétueuse. 11 répondit avec une ma- gnifique fierté: “II Ÿa dés heures où 11 faut savoir s'élancer à la tète des troupes pour les enlever. L'histoire militaire est pleine de ces exemples." Une autre belle réponse
On offrit un jour — sous la prési: dence du maréchal: de MucMahon, ‘croyons-nous — aû général de Sonis
archovéque de m'empêcher de
je suis membre, à quon dirodueien dune cause." «
Le petit jeu des des chapeaux
H a été imaginé par, les “Homains, en cette année jubilaire.,
Au début de l'année, bd. auel- ques semaines, dans les cafés, sur les |- terrasses devant lesquélles défilaient
des pèlerins, un petit jeu s'était répan-
du spontanément, qui consistait à de- viner à quelle nation appartenaient les groupes ambulants, rien qu'à la forme du chapeau de MM. les prêtres.
— Je te dis que br aôca est un Alle- mand'!, — Non, il est ob: — Non, il est Canadien! Et des paris de s'engager, paris qui consistaient presque toujours en des consommations ou en des. repas én commun. Alofs, le plus joyeux Auron de 14 bande, dl le mois timide, sé dé:
ri L p plier demander à LA p de quel pays il était. Et les perdants payaient à boire ou à man- ger. Que de Htres de “vrai .Frascat{” ef de” plats de chevreuu, de tomates, de pâtés, de riz ou de petits pois se sont consommés à la faveur des châpegux melons portés alternati- verñent par dex prêtres qu Portugal ou de l'Allemagne, et des feütres mous à la modertie àrborés par des Austra- liens ou des Canadiens! «Maïntenant, tout bon Romain connaît à& fond la chapellerie ecclésiastique des ‘trois continents dans son infinie variété; il sait vous dire, à 30 mètres, si ce prêtre est Espagnol ou Tchéco-Slovaque. Et le jeu a perdu tout intérêt, ) n
EE
11 peut y avoir d’autres remè- des pour enlever les cors, mais vous ne serez pas complètement satisfait tant que vous n'aurez 7 employé € Htowayrs Corn
cmover.
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ulet aux
ns fn préperels lon Pl erre et je me rap- a joie lorsqu'il venait de l'école: Dr que de soins. il fut l'objet! remarqué que tout ce temps tu [us
mituble toujours à la maison
un succulent petit goûter ant
tuelles et morales d’un enfant
AVEUGLEMENT..
RS A A des humains en.géné- ral, et de chacun de nous en partiou- lier, est remarquable et semble avair toujours existé, de sorte que les hom- mes n'ont. pas cessé de s'étonner sue- cessivement de cé qui était pourtant dans la logique des choses.
Les parents sont subitement étonnés
| de l'ignorance de leurs fils, après avoir
employé les moyens les plus dispen- dieux et le plus grand gaspillage de temps à en faire des ânes.
Les maris et les femmes sont dou- lotireudémentt surpris de voir mourir entre eux une afféction qu'ils n'ont fait aucun eflort pour conserver.
Les gens qui dépensent deux fois plus qu'ils-ñn'ont dé revenus constatent avec stupeur ét surprise que ça ne peut plus marcher. : ‘
»» Après a Voir fait: à peu près tout ce qui pet, froifser les autres et leur déplaire;. 11 se trouve des personnes indignées et étonnées de ne rencontrer ni admiration ni sympathie.
Et quand il nous arrive d'entendre l'expression de ces étonnéements, de ces désappointements et de ces décep- tions, nods nous disons: “Pourtant cela devait arriver ainsi et leur surprise est incompréhensible!’ On voit si clair pour les autres! |
J'ai eu cecnnaissance dernièrement: d'un étonnement de ce genre et je n'en revenais pas, tant il témoignait ‘de l’insouçiance et de l'aveuglement de parents qui se désolaient trop tard.
lis appartiennent à la classe des Ca- padiens qui trouvent chic de faire par- Leur fille
tie de la société anglaise. veut éponser un Anglais protestant:
‘1 volonté, prières, chagrin des parents,
cherché ensemble. | 2 D -0—— Les noces et leurs appel-
rieh n'y fait, Elle aime ce jeune hom
me‘et depuis trois ans ils attendent ies circonstances favorables qui leur
permettent maintenart de se marier. Leur fille ne’voyant que des Anglais,
les parents s'attendaient-ils à ce qu'al-
n'ont-ils pas prévu ce mariage”n tolé- rant les rencontres si fréquentes et en recevant chez eux cet Anglais? Je comprends leur chagrin, mais non leur surprise.
Leur enfant les trouve illogiques de s'opposer à un projet qu'ils approu: vaieñt tacitement par toute leur con- duite. - ;
Elle a fraison; fls sont illogiques de s'opposer trop tard à ce mariage dé picrable qu'ils auraient dû prévenir et qu'ils n'auront qu'à regretter, car il se fera maïigré eux et malgré tout.
Ayünt exprimé devant d'autres fem- mes l'opinion que je viens d'écrire, elles s'écrièrent: “Mais nous ne pou- vous empècher nos filles de sortir avec qui elles veulent. Ce n’est pàs .au- jourd'hui comme autrefois, nos enfants ue font que ce qu'ils veulent. — Tant
de bonté et de dévouément.
Préparé et l'en- trouneit son “home” si bon que je ne lai jamais "vu le quitter pour courir les rues.
que … Je Le vois encore peñnchée sur la pers tête vée nmbne biansat 1a Ne af ii SR ds | brune, guidant le crayon récalgitrant et expli- quant les devoirs du lendemain.
T7 Pierre est maintenant un pelit jeune ‘hom-
Quand je le compare à rertains jeunes. gens de ses amis et quand je vois le bonheur et l'admiration sourire dans les yeux, je me dis qu'il est bien vrai que “les facultés intellec-
Tu r le recevoir;
age ©
talent.
à sa place,
seront souvent
pis, c’est votre faute; il tan lès éle- ver mieux;-d'ailleurs, vous ne îne ferez
pas croire qu'avec un peu de prévoyan:|
ce‘et'de fermété, des parents ne peu- vènt pas choisir la société où évoluera leur fille. D'abord, Madame, recevez chez vous dâvañtage, qu'elle s'amuse üvec les amis de votre oholx, vous saurez qui sont ses amis et vous l'au- rez plus souvent près de vous. Je conslate, de plus en plus, vhez les Canadiennes françaises, une paresse à ouvrir leur imalsén'aux amis de leurs enfants, à faire le “home” si agréable qu'ils s'y plaisènt par-dessus tout." On m'objecte que recevoir. eoûte cher. ‘Pas de la manière que je l'en-
tends, Soyez simples et modestes, |;,4.. timidité, à n'éssayez pas de-rivaliser. avac ceux deur, à un manqué |
qui sont riches. Remplaces le luxe par
la cordislité, lasgaieté, l'hospitalité at-
mable et'je vous-prédis un succès qué
les jeunes apprécieront et qui écartera
bien des dangers que’ vatre négligence
favorise. ; ‘ FADEFTE.
RMS Gus sd ET iMAS dE Les mémoires de Mme Curie
Pris — Madame Curie, qui avec son mari le célèbre chimiste français, a découvert le radium, raconte dans ses mémoires qu'elle vient de publier qu'à l'époque de son mariage Çurie n'avait du'un- salaire de $1,200 par année, et qu'ellemême était une étudiante. 1ls vivaient alors dans un appartement de trois pièces. Pendafñt toute sa vié,
» | matgré ses travaux de recherches scientifiques, Madame Curie à fait la uisine dans sa maison. Elle à vécu 11 ans avec M. Curie et quelque
temps après sa mortelle a découvert |
le radium qu'ils avaient si longtemps
lations
Tout je monde sait ce que sont les noces d'argent et les noces d'or. Quant ne bete sn cest he dans connus.
En voici une liste:
h dus à un. travail ardu. jourd'hui’ plus que jamais; dans n'importe quel métier ou profession, la science est nécessaire. | vous Un homme ne devient quelqu'un que supériorité de son intelligence. Dis-lui aussi qu'il, dévrait être bien reconnaissant de pouveir suivre un cours classique quand il y en'a tant d'autres qui donneraient beaucoup pour être
pour
na Be vue les efforts Arche
qu'il n'y a pas de succès sans ua qu es renommées ne sont pas toujours l'oeu-
Elles sont presque toujours Dis-lui bien qu'au-
par la
MERE-GRAND:
Le sus tort des épox, dans le commun de la vie quotidienne, est de mettre fin très vite à cette. intimité d'Ames qui est la pluë nécessaire au bonheur et ‘qui seule peut faire que l'amour ne dégéuère pas en une sorte delcatmaraderie banale. Trop tôt on!
n’est plus, l'un après l'autre, que deux
étrangers ayant ebacün des pensées
qu'on ne, 8e communique pas, des rê-
ves qu’ où garde pour sb, des : décep-
tions que l'on ne se petisà a ds Souent, presque toyj
de choses déplorable est Fe
proque. Là est la cause vouée, de bien des | Date 4 ma riage n'est pas une fin, o o'est un Com- menceipent; Ôn.8e connait bien quand on.s’épouse — du moins. on de cro Lt —— mais on s’en tient.là; LEE
pas que l'on évolue, qu'en 88, Fan me, que la vie est comme une saison dont chaque jour fait éclore des fleurs nouvelles qui s'épanouissent à leur temps, pas avant, pas après, et de: mé- me qu'en juin la nature ne ressembls plus tout À fait à ce qu'élle est au mois d'avril, de même les jeunes gens qui s'unissent plus de dix ans après, tout en restant l'un auprès de l'autre,
parce qu'ils n'ont pas rdgardé dans
leur âme la floraisgn des désirs et des élans nôuvea
Et voilà poürquoi on se dit: suis trompé!” Qu'en sait-on? ————— 2403 2—
Pour nos enfants
‘ Notes caractéristiques du “Petit Mis sel illustré”: Papier fort, cartonnage extra-solide, simili-cuir noir, tranche rouge, illustrations aboudantes, texte simple calqué sur l'ordinaire de la messe. Prix: 15 sous seulement. Re- mises spéciales pour favoriser la pro-
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son flls? RER Er. et depuis ce jour SE pr
ee — Calendrier de la semaine: Fans LU dogontihémens 200 0! ME OR | : Jen@t 24-veptembre +-\Nôütre- Daiñe de la Merci: cat. Gb Vendredi 25 — 8, Aurèlé.. #1 Samedi 26 —"S. Cyprien et sf ds.
tuteur. , Souvent les enfants pour desla, partialité ce ut n'est en ustice,
JRAN-PAUL — #25 par semaine est un bien faible montant pour vous tre en méhage. Au prix où sont
tes les choses nécessaires, {1 vous fau- |.
dra certainement faire des prodiges d'écoñomie, Cependant je connais des
jeunes ménages qui vivent très ‘bien
avec ce montant ét qui trouvent mal- gré tout moyen'de mettre quelques sous de côté par semaine; mais ils ne font aucune folle dépense et n'en sont pes moins heureux pour cela, Vous
[me demandez ausst dé vous donner un
aperçu des dépenëes qui doivent se tatre pour ce salaire-là. ;
Ii est reconnu qu'avec ui revenu de #1,200 par les dépenbés doivent ôtre rép je |dYer (à pen prés) #26; Vivrés'(n peu près) #35; Vetéments (à ‘heu. à iv #16; dépenses Inctdentes, #25. *""""
‘comme vous pouvez L vous Tant faire
“ous marier, car 8i vous |cormencez
ayer des.deiles paré mais le dessus,
rue-Sainte-Anne,-Québee. —
L'autre jour le Petit Missel illustré
m'est tombé entre les mains, J'ai vu,
Noces de cotôn, premier anniver- | j'ai lu, j'ai goûté.
saire;
C'est'le vrai missel des petits, Le
Noces de panier, deuxième anniver- | Père Aimé Proulx leur avait donné un
saire;.
7 [petit catéchisme, leur catéchisme, l'ab-
Noces de cuir, troisième anniver- } bé Germain leur donne un petit mis-
saire;
Noces de bois, cinquième annivéer saire ;
Nôces dé laine, septième anniver- saire; te Noces d'étain, AUxième anniversaire; Noces de. sôie,
douzième anniver- saire; !
Noces de cristal, quiaaième apniver- saire;
Noces de porcelaine, véuéde ap- hiversaire;
Noces d'argent, vingt-cinquième an- niversaire;
Noces de perles, trentième anniver- saire : “#1 !
Noces de rubis, quarantième anni versaire;
Noces d'or, cinquantième rer. saire;
Noces de diamant, soixantième an- niversaire.
À propos des noces de diamant, que
_[ certains placent au soixante quinzième
ânniversaire. em —
Le coeur de la femme est ainsi fait
que si aride qu'il devienne au souffle }:
PSN TRE SI
1 leur missel.
ÿ 11 appartient aux parents et aux mat: tresses de leur méttre entre les mains ce que. j'appellerai: la Messe au c néma.
Chaque geste du prêtre pe” mis en image. L'image frappe d'abord les yeux sur la page de gauche, pendant que la page droite explique l'image en
mettant à la portée des petits Jen Did
res du grand missel.
La dévotion entre par les yeux, se continue en ère et dure jusqu'à là fin de la A
L'enfant suit le prêtre, geste par geste, prie comme lui et, sans presque s’en apercevoir, se mêle admirable- ment au grand sacrifice de l'autel,
Au cas le prêtre, toujours sur la page de droi- te, il y à nne toute petite image sym- holique que l'enfant aimera à déchif-
Une seule controverse subsiste, € rest frér quand une fois on la lui aura ex-
pliquée. Le misÈet se terminé par des prières
| préparatoires à la communion et des
prières 4 de grâces. (Bulletin paroïissial de l'Imtaculée. Conception, mars 1925.) 4
PRET 7 RE EENET |
l'enfant irait plus vite que}!
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ie :E .
l'abbé Henry Metsger, de Kro:
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@é'bons critiques, décorent piu-
Diefenbaker, le
ad * 4 t conser- Lu
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candida
vatäur, à ouvert sa Campâgne électo-
ê
soni'arrière grand-père, da dans sa jeunesse.
Au côurs de sa harñhgue; il a dit due son seul ancêtre allemand était
u au Cans-:
. Raymond Denis et le'R. P., Au- O.M1I, étaient récemment ici assister À une réunion de l'exé-
cut de l'A. C. F. C.
. » ee Le dimanche 13 septembre, Mgr Pru- a remis à M. J-E Morrier tes de commandeur de l'Ordre
qui défend d'enterrer qui que
ce “dans les limites de la ville |
UnË démände ‘d'exteptiof” âvait été faite en faveur de l'évêque et des reli-
siolbes du Précieux Süng, mais on
leuf” expédition dans une
réunion pu-
L à l'hôtel de ville. Qn en a pro- h établir une branche de l'as-
soclation “Vers la Baie”. a 4$ élu président, Ralph
Le Dr Miller Miller vice
| t' et H.+J. Fraser secrétaire-
è * ee et Mme Alfred Paré et leurs en- fa sont partis pour Miami, Floride,
où fs ont décidé d'aller s va L 2 L1 L] M JA. Brodeur, de ls
nadienne Natiohale à--Debden, est
transiéré à° Edmonton.
Edmond Chabot et lehrs trois t revenus d'un voyage en auto à Portland, Senttle, ete.
et Mme L-J. Fournier avec leur
'établir.
Banque Ca-
l ï Fl 1
Nôus avoûs un (ain de hé tols' ln semaibé. et le C.
cupe de construire un
sent les seuls X ne pas le comprendre L] L] L 1 De passage à Val Marie, il y à quel que temps, M. Raymond Denis ———- D 2— —
GRAVELBOURG
Miles Thérèse et Charloîte Cadoret, de Sorel, P. Q., sont ici pour un mois, les, invitées de leur tanie, Mme Jo seph-A. Amyot
LA 2 |
Miles Marguerite Piché, Aliné ‘La- france et Blanche Forcier ont été 2om- mées institutrices au Couvent de Jé sus-Marie pour l'année scolaire 1925 1926. f
ä ee M. Remi Bachand, élève gradué du cours commercial au Collège Mathieu.
” | vient d'entrer à l'emploi de la succur-
sale locale de la Banque Canadienne Nationale. vhs | . Mlle Etiennette Collin, élève du Couvent Jésus Marie, est arrivée pre-
cours de français institué par l'Asso-
ves-et couveuts de la province où le françcis est enseigné, et elle a obtenu la médaille d'honneur. Nos félicita- tions.
-. ee M Albert Labrosse, ex-élève gun Cot- lège d'Edmonton, Alta, de Marcelin. Sask., est ici À l'emploi de la pharme- cie du Dr Lavoie.
quelques semaines de vacances à Poa- teix, Sask., l'invité de M_ l'abbé Paul- bus, desservant de la‘ baroisse én r'ab- sence de M. l'abbé Poirier, curé, ac- tuellement en Europe LA AZ ] M. l'abbé E Eray, curé de Meyron ne. Sask. était en ville dimanche der- nier, et à assisté à la séance donnée
: LEE 2e | “ sM,et Mme À Marcotte, de Ponteix étalent en ville dimanche . Mile. An nette Marcotie, qui était ici depuis
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M Omer Desjardies moissonneur. de La Tuque, P. Q. âgé de 35 ans à été tué :ccidentellement, le $ septem-} bre dernier, à un demimille au nord de Palmer, et à environ $ milles de Gravelhourg. lorsqu'il tombe és’ ws- 802 rempli de charbon qu'il conduisait Une des roues du dit wagon lui passa sur la ‘ête Il mourut sur le champ LL était à lemploi de M Levasseur, fermier, de Palmer .
L'enquête tenue par le corner. le:
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MR tte ee STANDARD Henri dde À à de
accilenteile y 77. ble D DAIR!I=S LT° LA GRELE vont Los ie
ont eu Leu lé pembre. em} En êtes-vous protégé? Si non, écrivez-nous pour tous renseignements . . “ " Le base æe
l'ésiise parot-siale de Gravelluers: le
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Base Blé 1 Nord _____ 1334 1.34} 1.341 1.324 1 32 AE 5, reuins-3-CW-—— 41 "27 — « À .434 : Orge 3 CW____. el .65 -634 61 .61 -614- : :
Lin 1: NW_ _ 2.423 2. 2.384 2.38 2.35% 2.45 , igle 2 CW 4} 84} Si si? |
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scie parchpuals de nos viatise pv mentation de 30,000 à 40,000 de- la po-
manchée modestement, sachant prier
une brave, population endi:| mujation d'origine française de tout le
et communier, communier au sacre-| sjoutait Sa Grandeur, sans l'apport ment de vie et comnganier aux paro-| d'aucune Immigration venant de la
les--de-vie que prononce -un évéque | provinces de Québec. Ce qui main- énergique, de la lignée des grands pas- | (jènt le taux du surplus des nafdsances' tours t illustré le sière de Saïnt-| sir jes décès au même niveau qu'aux
_Bonfapé\, Ajoutez que cette paroisse plns beaux:jours de la Nouvelle-Fran- n
cinquante ans d'existence l'an pro l'cb: 14 redoublement de la population
’ chaïn,' qu'elle est. peuplée dé 2,090 ! tous les vingt-cinq ans. Comparez ce ” fimes, aux trois-quarts françaises — tiux d'augmentation de la population le réste de la population de la munict | francocanadienne au Manitoba avec palité étant de et de religion dif- | là vérité communément admise par les férentes, N'oubliez pas de noter que | statisticiens, et particulièrement par
nd M. Coates, statisticien du Dominion,
!cotfmentant le dernier recensement GUERISON DE fédéral, à: savoir que 40 puur cent au
« "” moins; des immigrants daus un pays La Fièvre des Marais n'y entrent que pour le quitter après
; | quelque temps, et vous conclürez que pere nos gens qui sont établis au Manitoba . 85.00 livré à domicile , l'y sages pour y demeurer. En terme de typographie, on dirait du H.8. RUNGAY, Chimiste type francé-canadien, de ln province
: : du Manitoba, dont le caractère physi NEWDALE MANITOBA | que et moral est stabilisé par de nom
| GUIDE COMMERCIAL ET PROFESSIONNEL DE WINNIPEG
d * k ; - | à p * 1 ; ces | ss. | à: } CCD i æ# : ENPRX : ANEWAYO: ° bé Li e à Ù \ IL ( G A ; Ë ? TR ÿ et cd : ° | Ed : à à : | J o! »10 1 | } À |: 2 U | ! + > | [0 ° y ' ’ TT) Le but de cêtte page spéciale est d'attirér, l'attention de la-population catholique de Winnipeg et dé Pouert D — ‘4 dd TE Re 1h à CRESCENT CREAMERY C 0 P NY du Canada sur un certain nombre de maisons d'affaires de,premier ordre qui méritent en tout point leur appui it re y F £ fé Ft 1 dé | , et leur clientèle, ot avec laquelle elle peut faire affaire en toute confiance. k* + | + save, og propreté, pre! Ù en ee LS … Que + - Sn CANAL De ce € . k ) * priétée foniques et, digestives de. : | ar le ferien de Mendes Det asset ie . ‘Les annonceurs de la ‘‘Liberté”’ vous garantissent satisfaction complète dans d premier ordre. mt | i i + | L arfaite et : VINGT-TROIS ANS tentes les STONE que vous pouvez faire avec eux : «| Pa, \ Bip Re» à re il Ù RTE or ; mr _ D - . 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Les employés des journaux et les TE de say ere a mt qu ap arts e HD rs. Les ré et dérée t e au plus , 7 McDONAGH & SHEA | "ss mine aiens 0 CE ET Re | c nm | : K Brasserie: : {1*_ Téléphones: , +. ati w ea __ __= LES PRIX-SONT LES SUIVANTS: DE écorce 2 nivo Fort Rouge 1111 P TELEPHONE B 41 INNIP ler prix, $400; 2me prix, $3.00; 3me prix, $1.00; 4me prix, $1.00; 5me prix, $1.00 pass haut | - — = z R M s à . Fromage et Miel de la Trappe MADAME, En us , Tout le monde connaît la valeur D Hat Char les Lanthier Ces deux articles sont en grande demande parce ncrté Las NEO ee A RER artistique des travaux d’impressions se * ' qu'ils ne varient jamais par leurs superbes qualités. QUI QUO VER. PMU ARTONS | TER pe , hi | } ke Manufacturier de fourrures Venez au Monastère chercher ces produits, vous serez Mettez souvent sur la table du bon fromage de la Trappe. d'ÿ À ag ei ses k f les bienvenus, ou faites vos commandes par la poste. 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H au - ment anime la solitude des longues dis- £lo-saxonne.” Le souci de l'école 1 na
Manitoba, dé 1911 À 1921. “Et cela,| venir 4. me actif bt énergique.
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chart les épis d'6, dont le bruisse-
tances, mêlé au chant des oiseaux. lei! des traditions
cieuse of la silhouette élevée de quel-| chefs nationaux de nos compatriotes, | | . POUR VOTRE 2% à que élévateur à grains, ramène au sou- | somme l'ont prouvé les paroles de teus V [ ù R ne mire | V OYage à Rome Le sol a prodigué sans efforts les | Anne Chênes, au banquet rural, AL AILLEURS récoltes d'une terre naturellement f6-|et au
L Lu Fort Garry, de Winnipeg, "au Les Domi i E à conde. Les terres non “cassées”, sui- | grand banquet groupant les représen- 4 ; ‘ " vant l'expression consscrée, donnent | tants des diverses et nombreuses s0- Traveller’'s Cheques un rendeent magnifique. Mais les | ciétés qui y participaient, sous les aus-| aident à vous faire identifier et vous terres non fertilisées :gt-constamment bices de ln vénérable Société Saint- assurent contre les pertes d'argent. Les
“ banques, les agents dé tourisme et les ensemencées no sont inépuisabies. | Jean-Baptiste. -… :. Î magasins vous les changent. Vous pou-
‘ine” cans les réponses. 11 s'agit de) ne pas. se contenter de présenter là solution pure Bt simple, mais de l'agrémenter de quelque façon bag purs © suivant le goût et les aptitudéé de chacun, en l'accompagnant de dessin,
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vez aussi les faire ohnnger à llazza 8 ‘Citation, devise, etc,
C'est |pourquoi les fermiers du Manti- “C'est bien de mettre du français sur | Pietro {Carré Saint-Pierre). omis dans “soconde”—Electric Motor Sales and. Répairs Co. Lad. oi toba commencent à s'intéresser plus |les lèvres de nos enfants, déclarait le Votre h changera omis dans “’spécialité"—Hub Welding Co. ; res sérieusemént à la culture mixte. L'6-| président honoraire de l'admirable As- “: ur À ps pr Eee gr sn PA Li - sdeos a rome levage di ül, facilité par les prai- | sociation d'Educétion du Manitoba, M. | été" saite per non repos tnte à qe ns ; ne
< R our s'occuper des le- ries naturelles qui fournisseñt le foin le. juge Prendergast, mais {1 faut un | Fonte vous Atchies de Me. en atantité, et par les. plantes fourra- | coeur patriotique qui anime ces lèvres, | — et. vous le énres KL. taire” gères qui poussent en abondance, per- | il faut maintenir au Coeur de nos en- ES Travellers “Creaues di mettra aux fermiers de parer plus | fants les vieilles traditions’de la pro-| #’est ce qu'il y n de mieux pour
ps 4 voyager. avantageusement aux fléchissements | vince de Québec, qui sont identiques
omis dans, ‘Somerset"—Dr B.-A. mir omis flans ‘“rue”—Antonio Lanthier. ?. :: omis dans ‘“chevaliers'—Hôtel Sairit-Regis. | omis dans marchandise”"—Pat. ‘| ne
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" 2 ” ee Canadien ou L'avenir économique des Franco-|tutions qui prolongent le système;j{ra- de la Dominion
Canadiens du Manitoba vivant la vie | ditionne]l de la paroisse de la province Lt a re rurale paraît assuré, malgré la crise | de :Québéc: collège classique, confié financière qui n'est pas encore entiè-| aux éducatqurs émérites que sont les
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| de nouveau de décrocher un de ces prix. N'oubliez pas que :noùs tenons Laÿ,
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—#$ les fleurs réjouiæent l'oeil
-"rle Couilart -de-
Champ oÙ4 s'exerce sa merveilleuse ac- — la Floride. 11 dirige à Miami vastes ateliers et magasins dé "és construction Les Etats-Unis lui Bt été doux sous le ciel de la Floride. Nous lui souhaitons tout le succès qu'il rest en lieu de, désirer.
LA RE | Nos écoliers ont regagné les lieux
de leurs études: le Collège de Saint |
_Poniface et le Juniorat de# Hi: PF.
“5 vint de ropertir pour je souvesz | tion €
the. Le programme comprendra aussi
teux, et donnant d'excellents résultats.
SAINT-BONIFACE Der primer
: Feu le RP. F: Joseph tai |
Nous avons le à mort du R..P. Joseph Blain, de la Com-
.Oblats de Marie linmaculée. Nous | pagnis de Jésus, survenue le 17 sep
sothaitons bon succès À nos jeunes
ee e*
‘Toutes nos écoles fébetionnent et} nent
vont pleines: toutes sont sous la d' réttion d'institutrices formées au Cou- anademt-ci ‘
Lens n'evens sie oneses ou de cutés
| Boniface vers la mé
| vette
temb‘e au noviciat Seint-Zosep}. au
Sault au-Récollet. regretté d cinq ans au cof légé d'Edmonton, étéit passé à Saint- . Il avait détà |
été touché par le pa sie. Une nou- attaque l'a emporté en quelques
pour toucher jardins ou parterres. Aus- | jours. ape here ccreageers
et ex Laument partout, surtogi au presbytire
Décès x
F
subitement son père Emery Dame, à
ans et quelques mois. Les
eufent lies Je 15 dans l'é
paroissiale de Sainte-Rose de fut
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Théoret.
Er fil >
| 29
| deci} pour ie Manitoba catholique.
LI enseigné pendant vingt-six aps au collège de Saint-Boniface. ;
Né à Saint-Rémi de Napierville le octobre 1852} fl avait fait ses étu- tes classiques au Sainte-Marie h Montréal et était entré dans la Com-
13: septembre M. Arther Dame | pagnie de Jésus au Sault-au-Récollet à Rapid City.}le 30 juillet 1878. 1] vint à Saint'Boni-
face avec les premiers Jésuites, qui prirent la direction du collège”en 1855 et y enseigna les letires pendant cinq ans. : n'était encore que scolastique.
chanté par M_'1l alls faire ses études ‘théologiquès, ‘Ji laisse pur | fut ordonné prêtre le 3 septembre 1893 ; perté son épouse, Azel:nä | à Montréal et revint à Saint-Boniface
Nes sincères sympathies à son épor é. | tives, à l'exception de l'année scolaire _ Le 15 septembre Mwe Ovila Labe:!e, | 1910-1911 qu'il passa dans l'exercice née Emma Bellemare, s'éteignait dzne | du saint ministère pour;se reposer des
le Seigneur à l'hôpital de Saint-B:2i |
rte maiadie, à lise
‘‘{rons nos\sintères sympaihies à sm époux, M Ovila Labelle, à ses deux fils. Victor et Albert, et à ses deux filles Mme Levin. [Æ#pla, de Sainte- Amélie. |
illes eurent leu : £ Saint Jeën Prprise Man Nous of |
fatifues de l'enseignement. Il dota le collège des ‘laboratoires nécessaires et donna une vive impulsion à l’ensei- gnement des. sciences. Sa connai: sance et sa maitrise parfaiies des ques tions phflosophiques le firent aussi nommer professeur de ces matières | pendant quatre ans. C'est celle scien |
et Mile Béatrice Éabelle, de Sainte | ce qu'il enseignait à Edmonton ces
“Rose.
$ {
Baptèmes
| cinq dernières années.
ln fut le premier à établir un sismo-
* Le 9 août — Marie[hérèse-Gertrude. graphe dans l'Ouest canadien et diri
de Braumont tOnge. Parrain Lussier et Ma- Bétumont. ga
Lé 9 août — Joseph Emile- Maurice
enfant de Joseph Lassier et de. Atha-
mälde Lassier. Parrain -et-merraine-- Lorenza Lussier ej Germaine Rhéau me.
Le 12 août — Joseph-Lôuis, enfant de Israël Thibert et de Cleophie Nauit. de Cayer, Man Parrain et marraine: Albert Neault et M Louise Neault
et marraine:
ses pendant plus de dix ans l'obserrz toire sismographique du: ‘collège, en relation avec des points importants da-globe-1] était membre de la Sc cété Royale d'Astronomie de Winnt peg: à laquelle il a donné communica Lion Se oies res ques et de nombreuses observations sismologiques. .
I! était aussi membre de la “Société Historique de Saint-Boniface” et !! joua un rôle important dans !a décou- xprte des restes du P. Aulneah, du fils |
#
|
s
Vous avez essayé d’abtres re-
Le J5 août — Laurent, enfant de Ma gloire Campbell et de Esther Spence. de Lorely Läke, Man Parrain et mar- raine: Adélard Dumas et Me L Ber-
Le 23 août — Joseph-Israël Benoit,
_gafant de Israël Pelletier et de Léon- tine Mougrain. Parrain et marraine: "AL et Mme Israël Pelletier.
Le 30 août — Marie-Âmanda, enfant
"d'Auguste Soens et de Stéphanie Ther- rien Parreîn e: marraine: Napoléon Landry e: ere Lenriet É
L]
.__Etatent de DE à Sainte-Rose. vendredi! dernier: M Jas Bowman. CR. Gunne et Robert Cruise, en tour- née d'erganisstion électorale M l'a voca: James Bowman, de Dauphin, sers tut probablement, le candidat choisi L'In prochaine convention conservatri c® pour représeuter le comté à Qt taws. 4
LZ - .
M. l'abbé Pau! Emile Halde, curé de - MeCreary. et M l'abbé Roy, curé de Sainte Amélie. étaient de passage au
presbytère ces jours-ci
Délivré de l'asthme — L'asth mt est une des maladies les plus sâgoissantks par ses attaques soudaines et la durée de ses
i Très souvent, on em- D toutes sortes de moyens érison, mais rién ne sem- donner aucun -espoir d
: ment. -Le remède pou
Er Dr J.-D. ke ogg ci …
seul remède sur leg
“Peut réellement compter. Si
sans succés, be mANqQUEZ pas d'acheter immédiatement un paquet de celte préparation
: ete compas gnons au Fort Saint chartes en 68 |;
Maintes fois, il donna au public de |
Saint-Boniface des conférences fort goûtées sur. des questions sociales, his toriques où scientifiques.
Le 18 mai 1922 l'Université lu Mant
toba lui conféra le titre de docteur en | S708t célébrées au moins toutes les Loi, en reconnaissance de ses vingt | heures à partir de cinq ,beyres jusqu'à
six années d'enseignement au Manito ba et de la part importante qu'il avait prise dans les conseils universi- taires, comme reprékentant du collège te Saint-Boniface.
La fête chamioëtre organisée par S— club Kiwanis a débuté jeudi Soir par e. grande, procession à travers les
d'annoncer la irues dé Saint-Boniface et de Winnt-
peg. Le défilé se composait de nom- breuses automobile décorées avec goût et de plusieurs camions étalant les prodpfs de nos industries locales. Une foule s'échelonnaît sur
dredi ét same. La mauvaise tempé- rature a grandement nui'au succès de cette fête. Aussi on à décidé de re- prendre tout le programme vendredi soir, samedi après-midi et samedi soir. ————— 2 200 2—— ‘
Carmel de Saint-Boniface
Monsieur le Directeur, Je sais d'avance que vous agréerez avec bienveillance le Communiqué sui vant au sujet des modestes fêtes d'ac tion de grâce qui doivent avoir lieu chez des Rétigieuses Carmélites de Saint Béniface êt dont voici le programme: Mercredi 30 Sèptembre (premier jour) A 8h. — Messe: S. G. Mgr l'Arche vêque. Chant: les élèves de l'Acadé- mie Saint-Joseph. Bénédiction d'un
- {| tébleau-apothéose.
A 4 b. 15 de l'après-midi — Salut du Saint-Saerement: Mgr G. Cloutier. PA. 6G., Chant: les RR. SS. Oblates
Jeudi er octobre (deuxième jour)
A 8h. — Grand'messe: R. P. J. Des jardins, SJ. recteur du collège. Chant: les KR SS. Oblates.
A 4 h. 15 de l'après-midi — Salut du Saiht-Sacrement: R. P. F. Gauvin SJ. professeur. au collège. : Chant: les Damed de Sainte-Anne. ‘
- Vendredi 2 octobre (troisième jour
A 8 h — Grand messe: R P. J-B Beys, O.MI., provincial. to les RR. SS. Grises. ,
A 4 h. 15 dé l'après-nkidi — Salut dn, Saïn’-Sacrement: Mgr Jubiaville, P D. curé de la cathédrale: Chânt: ies BR. SS. Grises. +——
Prédicateur: R- P- H_ Bourque, SJ.
11 y aura sermon'à la messe d'ouyer ture et à chacun des trois exercices du soir.
L'eiguité de leur humble et si pe tite chapelle empéehe les Carmélites
| d'adresser les invitations qu'elles dé-
sireraient faire aux nombreux mt teurs et aux charitables personn " | nast es Tout le Pas pourra visite
leur chapelle à toute heure de ces trois journées de prières, de cinq heures du matin à h es du soir. Tous se ,ront ies blenvenns aux offices princi- ‘ baux de ce Triduum, et des messes y
buit heures.
La relique insigne des ossements de sainte Thérèse de l'Enfant Jésus pour. ra y étre ,vénérée après chaque messe
après les offices du Triduum et sur
Dans la personne du regretté défunt | “mäande à la Soeur Tourière qui pré
lisparaît l'un des pionniers de l'édu- cation au Manitoba et sans contredit l'un de ceux qui ont le plus fai hon- neur À la noble profession. Toute une ménération de notre classe dirigeante a été fur }2: science par son docte
et lumineux enseignement et à la piété !
par sa doure et sage direction vailleur infatigable. i} « + une carrière des mieux remplies “Son sou- venir vivra dans la mémoire et le coéur de ses anciens élèves si nombreux.
Tra-
viendra gussitôt l'aumônier.. |! est à
haïter aussi que dupant ces jours, Co religieuses de nos deux
les aient la pieuse inspiration de faire ‘une petit pèlerinage au Carmel
Saint-Boniface, hors les heures du Triluum, pour honorer la petite sainte Thérèse. On peuf s'adresser au sous- signé. si l'on aime à fixer une heure spéciale pour accomplir cette prati que de dévotion et faire vénérer aux religieusès et aux enfants de ces insti
dont il était estimé e: aimé, et qu'en | ‘tions la relique de notre “petite”
retoùr ü chérissait En apprenant !: désastre de l'incendie du 25 novembre 1922, !! écrivait d' Edmonton: lège de Saint Boniface est un mopu ment disparu, mais nos anciens élèves sont un monument plus précieux ei
plus chéri qui nous consolera de |
perte que nous venons de subir ” ————— 2200 —
Mgr Jubinville, curé de la cathédrale de Saim Boniface, Mgr Cloutier. curé du Sam -Norbert. et M Gagnon Cure de Saint;Adok he, sont allés à sister aux funérailles de ** l'abbé Le mieux, curé de Willow Bunch, 3a%%k. : eu-Lieu hief 1
labb5
sainte. Je demeure respectueusement, M. le
“Le co! : Directeur,
Votre tout dévoué, Léenide PRIMEAU, ptre,
Aumônier des Carmélites |
L1 population de Suint Boniface sera eureuse d'apprendre que les négocin tions entre Saint-Bouiface et Winnipeg qui durent depuis plus de quatre an aée: pour établir ua gerrice dispci des tramways sur te Piprencher, jet abouti à une entente. Les travaux sur la rue Notre Dame sont déjà tommen- cés pour poser les rails, ;
volontiers comme gage de meilleurs fruits de vie chrétienne sa bénédiction apostélique.
| “P. Cardinal GASPARRI "
par le R. P. Colclough, SJ,, et MM. pa Guérin et Alphonse de Ro- chelle.
e_.".!! 5
It y aura réenion du Cercle La Vé-
rendrye, dimanche, à 2 h M. Alfred
sera le conférencier:et M. Ca-
mille Fournier. fera la chronique dez {vénements de la quinzaine.
Les membres de l'Association des Anciennes Elèves de l'Académie Saint- Josepit ‘sont cordialement invitées à assister à la réunio annuelle de l'As- sociation, qui aura lieu le samedi 10 octobre. $
Banquet à 6 h. 15. Bénédiction du Saint-Sacrement à 8 h.
réponse avant le ler oétobre afin de perméttre dé fdfre lés arrangements nécessaires poufije banquet.
Cotisation anriuelle: 50 sous. Ban- quet, $1.00.
Adresser la réponse et remettre le.
montant requis à la présidente ou à la secrétaire: Mme Ernest Gagnon. 161, Boulevard Dollard, tél. N 1964; Hermine Paradis, secrétaire, 283, ave. Provencher, tél. N-2676.
——.+ me —
PETITES NOTES
La perception de l'Association d'E-
ducation dans Saint-Boniface est des plus satisfaisantes. Les retours sont encore incomplets, à cause de la term pérature peu clémente de dimanche dernier.
(A gsuche)—V'agens à sarchomdises dons les Cours de Winnipeg. prairies. (En bas)—Uis élévateur à grain à |
TA GT arm |
tions soit soigneusement et prompte- A, C. J. C. était représentée offi- ment exécuté. 7e. # 1551 ciellement au Congrès international
Notré ex-concitoyen M. Antonio La- ; _[belle. de passage parmi nous. nous quit
et accessoires que l'on pourra se pro- curer, M. de Gagné verra personnelle- ment à ce que tout travail de répara-
L]
M. et Mme Gosrges Henri Bérubé font part à leurs parents et amis de la uaissance. d'uh fils, baptisé sous les noms de Joseph-Jean-Jacques. Parrain et marraine: M. et Mme J.-B. Leclerc, grands-parents de l'enfant. à
eme Vente de terrains pour taxes dans la nv de Tach Taché
ll s'est elissé mois erreurs dan: l'annonce de vente de terraïîns pour taxes de la municipalité rurale de Ta-
ché parue dans notre numéro du 26 |.
août. Nos lecteurs sont priés de pren- dre note des corrections suivantes: . 15me parcelle — Erreur dans la des- cription qui doit se lire aînsi: “Part of section 14 and 23, Toxship 9, Range 4 East (Certificates of %.:les No 11696
Ÿ and No 291717) au lieu se Na:292727. , On est prié dé faire parvenir uné
5ôme parcelle — Brreur dans le der- nier montant qui doit être $9668 au lieu de $96.38. ‘ 53me parcelle — Erreur dans la des- cription qui doit se lire “EX of NW4% section 18 and SE%:section 19, Town
ship 9, Range 7 East au lieu de
“Township 8, Range 7 East”, - *. EEE TT Un remède pour le ma d'o- reilles — Le mal d'oreilles csi un véritable martyre. L'oreille est.un organe délicat que peu se décident à soigner, fant on le considère du domaine du-mé- decin seulemént. L'Huile Ec- lectrique du Dr Thomas offre un remède facile. Quelques
gouttes sur du coton absorbant.
ou de la charpie, placés dans
l'oreille, opèérent-beaucoup de
Fepnlagement.
C'est ainsi dans les cours de Winnipeg,
et nombre d’autres
dr hs
6-1 Manitoba, unie de ‘coeur aux jeunes rance de la Norwood Motor Sales, 102, congressistes de Rome, vous envoie |;ue Marion] Outre les huülles.
in qubes Imngue ot un éutre. pour les RU ds à
+ Bien, mon cher monsieur, un che- val qui a la queve courte se sert de
| sa tête pour chasser les mouches; pen-
dant ce temps-là, il ne mange pas; tandis qu'un cheval qui a la queue longue n’a pas besoin de sa tête pour les chasser gt alors il mange touf le temps. Pas une place pour Lui
Le curé fait le catéchisme à un grou- pe de bambins. .
— Voyons, Jean, le bon Dieu est-il partout?
— Oui, m'sieur le curé.
— Est-il dehors? Oui, m'sieur le Curé. : Estit dans votre maison? Oui, m'sieur le curé. Est-il dans votre cave?
Le petit hésite, fait la moue, puis à la fin réponds “Il me semble que c'est une drôle de place pour Lui!”
Sage précaution
Deux juifs s'abordent. L'un, inquiet, confie à l'autre:
“Ma femme est mañiés. Sa fièvre monte. Avant-hier, -èlle avait 100 de- grés; hier, 101 degrés; aujourd'hui, elle fait 102 degrés. Je ne sais que faire?”
L'autre juif:
‘ *Mon cher, a 104, vendez.”
» Vive ta ptatistique! Un‘jeuné Yanliee? travaillänt chez un banquier, ! lui demanda une augmes- tation de salaire. Voici la réponse que lai fit |
maître: ke : Dans l'année, il y a Vous travailléz huit heures par jour, par. conséquent, vous travaillez un tiers du temps, soit de 122 à ...... Là-dessus, il y a un dimanche
par semaine, soit ....... 52 “ se présentera encpre dans York-nord Reste _........... 69 jours | et M. Méighen dans Portage la Prairie. Vous avez une demi-journée sas de congé le samedi, ce qui on ; 17 représonte-:...s.s.ssssss 3 * VARSOVIE —— La Russie a installé, à ————— | presque ouvertement, un centre de pro- : Reste ...... Les 43 2e communiste en Pologne.
Rated bre benran ES les
ts dnenseihe
* | este | désvieteresn: @jours malade is i\ 4,7 ERREUR , “ Cour
une augmentation? ; Vive ln statistique! re
Les chaussures ralaient 18 dollars; le client n'en avuit que S. Car Patrie emporter les ehassures?
"| Je rapporterait dbux dollars en pas-
sant. | À
—_ Cértatneinent, monsieur.
Le client partit avec son paquet, mais le patron, survenu, secoun 50m employé d'importance.
— Ne vous en faites pas, dit cetèt ci, calme. Le client pndra. Je lui ai donné deux chat
LES DEUX CHEFS Pr D EE
Meighen
p .
Les deux principaux chefs politiques du Canada ont plusieurs points de res- semblance dans lieur* vie privéé. Ils sont nés la même annlée dans des com. tés adjacents de la province d'Onta- rio, ont obtenu leurs grades dans la même université et ont été élus dé-
putés de la chambre Ù
la même élection. Leur date commu- ne de naissance est 1874. M. King fut gradué à l'Université de Toronto en 1895 et M. Meighen en 1896. Is furent élus députés pour) la première fois en 1908. M. King naquit à Berlin. (main- tenant Kitchener), Ont., et M. Meighen à Andersqn, comté de Perth, Ont. M. mn: élu datfs Waterloo nord, Ont. par üne majorité de 263 et à la même élection M. Meighen fut élu par 250 de majorité à Portage rairie, Man. En 1911, M. King fut défait dans Wa- terloo nord et M. Meighen fut réélu dans Portage la Préirie.
En,1917 M.,Meighen fut lu dans le même contté-per- une majorité de 2,635 et aa mémegélection MæKing fut défait dans York nord. M. King fut choisi comme chef du parti libéral en 1919:et en octobre de la même année il fut élu par acclamation dans élection complémentaire du comté de Prince, Ile du PrincéEdouard. M. Meighen fut défait à Portage la Prai
-| rie aux dernières élections, mais il 50
présenta en 1922 à Grenvifie, où il fut
élu par acclamation. ° Dans la pue mec en actuelle, M. King
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rés du même
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sonne qui se dirigeait vers lui avec un
Elle Jui tendit 1a main &t 1h de ne pouvôir offrir des daigis noircis qu'il se hâta de Wécragser à l'essence
- et d'essuyer avec des cilffons
l1 devineit que. Madelaine était ve pue pour l'entretenir de'choses gra-
ves, pour être fixée formellement sur
_mes sentiments, peutêtre pour arrêter définitivément la date d'un mariage dont son oncle désirait une hâtive con
clusion. 11 avait l'impression de tou- cher à une minute décisive de s0n destin. ."
Jusoze à, il avait toujours répondu sux avances et aux suggestions de Larieux par des propos évagifs. “Il
| javait au habileté de ne point prendre
d'engagements, de se teuir sur la ré- serve, de ne jamais prononcer âne pa-
role qui fût un acquiesteinent-aux vo”
Wontés de son ami. Aveë de Lurieux, il lui.était factlé d'ètre prudent, rien qu'en voyant le front entêté et les yeux volontaires de Madeleine, il comprit qu'il a'laft être pris au dépourvu, qu'il
‘me serait pas capable de trouver ure
seule raison valable pour retarder un - événement auquel il pensait rarement et sans aucune complaisance.
Les sensations qu'il épronuvait, -au- tant qu'on peut le supposer, étaient celles du-paphlon qui voit tout à coup s'abattre sur jui l'impalpable filet de soie dont les mailles légères vont le capturer.
Déja intimidé par l'apparition inopi- .née dé la jeune fille, humilié d'être trouvé dans des occupations peu élé- &autes, Bonnières acheva de ‘perdre son sang-froid à l'idée qu'il allait su- bir un assaut décisif auquel il n'était pas préparé, devant lequel son manque
Aueune n'avait su lui suggérer lé goût Au mariage. En leur présence, il était plutôt tenté de leur offrir une cigarette qu'un madrigal, le plupa d'entre elles fumant, sans que nul n'en prit ombrage dans leur entourage.
À Madelelne Jui était désignée par des volontés auxquelles {1 ne savait se soustraire, à défaut d'inelination natu- rellé, 'havait qu'A\s'abahdonner à dôn destin. Le martage est un “x” vers
lequel convergent tant d'inconnues
qu'en choisissant lui-même sa fiancée, fl s'exposalt peut-être à des déceptions et des déboires plus grands qu'en l'ac- ceptant aveuglément. * ! Son apathie naturelle lui consefllait donc de se laïsser faire violence gt de se prêter complaisamment au jeu que de Lurieux voulait lui voir jouer. “Après tout, eoncluait-il, si j'épouse Madeleine, il ira de son intérêt per- sonnel qu'elle se comporte de teile fa- con que nous ne s0yonus pas trop mal- heureux ensemble; il ira de. mon in- térét de combler tous ses désirs, d'o- béir à toutes sef# volontés. de faire en un mot ce que je devrais faire avec toute autre.”
Depuis son arrivée, Madeleine s'exa- -minait, un peu interdite, guettant le moyen d'aborder un sujet épineux, cherchant un détour, une tangente. Tout à coup elle se hasarda:
— Monsieur Bonnières, est-ce vrai que vous m'aimez comme mon oncle me l'assure?
Le pauvre automobiliste n'eñt pas été plus suffoqué en recevant un grand choc en pleine poitrine ou en se pré- cipltant dans un bain d'eau glacée.
11 balbutia:
— Mais certainement, Mademoiselle,
Pour les Femmes
ROUGES
Pâles et Faibles
_Remède qu'aucune femme ne prend Jamais en vain.
leau, 82, rue Robert, Artic,
“J'ai pris des Pilules Rou- ges à l'approche d’une mater- nité parce que l’état de fai-
blesse dans lequel je metrou- vais m’inspirait des craintes. De plus, j'étais bien nerveuse
et ma digestion était mau- vaise. J'ai acquis les forces dont j'avais besoin ces jours redoutables et j'ai pu ensuite, avec l’aide de ces pilules, me rétablir promp- tement”. Mme Antonio Mi- lot, 2ème rue, No 1, Shawi-
! + Eh bien je 7ais vous parlér libre- ment, comme à un ami: Allez-trouver mon onele, M. Bonnières, allez lui dire
future femme. Ænfu, faites-lyi com-
prenère, par-des périphrases, que vous
he votlez pas de moi,
— Fülte” ce due Je ous demande; -
Bonhnfères, et je vous aimerai bien. La stupéfaction du jeune homme, en
entendant ces paroles, fut télle qu'il
laissa échapper de ses mains et tom- her sur l'aire cimentée où elle se brisa, une bougie de porcelaine dont Mi rap- prochait les électrodes. :
La réflexion äu vieux Don Guritan lui traversa l'esprit: “Dieu s'est fait homme, soit; le diable s'est fait fem- me”. k
— Vous hésitez? reprit Madeleine,
Bonnières, stupéñé, se sentait boule- versé par des sentiments contraires. En voyant que Maïdeleiïne ne lui sau- tait pas au cou, ne le harcelait pas et ne favorisait pas l'infrigue de son on- cle, fl se sentaît tout disposé à la trou- ver plus intéressante.
Le coeur de l'homme est ainsi fait que ce qui s'offre à lui a pour lui moins de prix que ce qui éherche à lui 6chap- per. Le vieux proverbe latiz ‘‘requax, fugax; fugax, sequax” est toujours
vrai: “poursuis, on te fuira; fuis, on
te suivra”.
— Mademoiselle, répondit Jacques, j'hésite à faire de la peine à mon ami de Lurieux. Ses voeux seraient com- bles si vous devèniez mon épouse, il me l'a dit; il m'a donné mûme l'assu- rance qüe vos voeux secrets étaient coûformes ‘aux siens: je n'oserai ja- mais faire Ia démarche que vous me suggérez.
— Pourquoi, puisque c'est moi qui
vous le demande? . — De Lurieux est mon ami; |] m'ai- me. 1} m'a rendu maints services; il n'a fait acheter tette auto. dans de couditions très avantageuses. Me vo# ant dans l'embarras quand je fus con- traint de me séparer de Joseph, il m'a appris à conduire. Je suis son 9bll- gé. En toute circonstance, il trouve un môyen déHcat de me prouver qu'il a pour moi une réelle et profonde sym- pathie… Je ne voudrais pas lui faire de peine. L
.— Est-ce que vous seriez uné poire, M. Bonnières? : \
— Serais-je ‘une poire” comme” vous dites, Mademoiselle, que je n'en serais pas humilié. On traite de “poires” au- jourd'hui tou sceux qui ont encore des scrupules d'honnéteté, ceux qui res- tent bons:et stmples, dans l'universella muflerie; ceux qui croient aux senti- ments désintéressés et qui les mettent en pratique. Je crois bien que je ne suis qu'une poire...
— Et moi, je le crains. Savez-vous pourquoi mon oncle veut vous marier avec moi?
— Parce qu'il a sans doute, comme
“] sais aveuglément guider par ma mère
— Je suis capricieuse, lunatique, ex: travagante. . Je ne peux pas me ployer sous le joug d'une autorité; toute wo-
ritatre jusqu'au despotismé. ss: -…— C'eët ainsi que je souhaite que soit ma femme. Je n'ai fait jusqu'ic aucun effort de volonté et mon nat peu hardi recule devant une responsa- bitité à prendre. Enfant, je me lais-
ani avait pour moi des tendresses dé- bonnaires et d'inépuisäbles indulgen- ces. Elle était malade, se savait con- damnée, et se hâtait de me prodiguer les soins qui devaient fixer dans ma mémoire le souvenir de son ineffable bonté. Elle savait que je ne la gar- derais pas longtemps et qu'après elle, dame. la vie n'aurait pas plus d'in- dulgences pour moi que pour les autres orphelins. Jeune homme, j'eus un précepteur et un tuteur qui s'arrogè- rent la peine de m'éviter.le souci de prendre des décisions, de he diriger moi-même. J'ai la passion de l'obéis- sance, de la soumission, une frayeur exaspérée de la responsabilité et un manque d'initiative ingénu. J'étais riche et, sans vanité, content de l'être, parceque cette circonstance. m'épar- gnait bien des ennuis, m'évitait le tour- ment de songer À résoudre certains problèmes douloureux, de penser au lendemain, à l'avenir. Je ne suis pas égoïste, ni méchant. Si vous deveniez ma femme, je vdus demanderais seule- ment d'être pour moi un charmant ami, un gentil compagnon, libre de faire ce qui lui plairait et que je ne contrarie- rais jamais. :
Touchée par cet accent d’humilité comme par la douceur d'un caractère qui l’étonnait un peu, Madeleine com- prit quel infini de bonheur s'offrait à elle, quelle précieuse liberté elle au- rait avec un tel mari, quel enviable destin de coquette extravagante-et ea- pricieuse elle pourrait vivre. Elle fut tentée de se laissen-toucher par l’évi. dente bonté de ce jeune homme si mo- deste, bien qu'il eût tant de raisons de se montrer différent. Puis, du fond de sa conscience, une voix itimide jui murmura: “Tu ne mérites pas cela'' et cette conviction, qu'elle admit d’'em- blée sans même envisager s'il l'ai se- rait possible de se rendre digne d'un mari tel que les plus exigeantes n'osent pas en souhaiter un aussi séduisant, dans leurs rêves les plus romanesqües et les plus éthérés, l'affermic dans un entêtement et une résolution qu'elle savait de nature à contrarier son on- cle, à le rendre furieux.
Pour étayer sa décision,-elle se dit: “M. Bonnières se moque de mof, ou bien je suis victime d'un mirage, d'une haïlucination de la vue et de l'ouie.. Ce jeune homme n'est pas un sot.…; il se fait peut-être sur moi des id£es...; il me croit différente de ce que je suis.” et, délibérément, elle résolut de trancher Ia question, de révéler la cause de sa démarche:
— M. Bonnières, je.ne puis pas être
dont l'idée avait été conçue par votre “
:;— Allons, allons,
ne pas pleurer: up gros r
vous? : *. | ‘
un garçon que je ne vous plais pas? Est-ce ma faute à moi? S'il
‘n'avait tenu qu'à moi,
facement et de l'indifférence qui me| nettes, qu'il répétait et qu'il se promet pousse à me tenir à l'écamt des autres; | tait de réciter comme une leçon à de c'est de là que me sont venus aussi ce} Iarfeux. . repliement sur moliéme et ce besoin} Puis d'être guidé, encouragé, dirigé, qui me _n ri ge rmsou Fo + faisait admettre en faveur un mariage | Senterait en # , | quette plutôt, c'était moins cérémd- oncle. * nieux; avec des gants blancs et des — C'est justement parce que de ma-|#ouliers vernis... riage serait l'oeuvre de mon oncle, que A la réflexion les gants blanes lui je ne veux pas.me prêter à la combl- paraissaient plutôt indiqués pour une paison et, plus tard, vous. me saurez demande en mariage; des gants de gré de ne vous avoir pas abusé. Je |teinte nefftre seraïent mieux appropriés suis frivôle, capricieuse, légère; je À la circonstance. 1] complèterait sa ne sais pas coiyter et, quon que soit toflette aveè. une cravate de teinte votre fortune, j'aurais tôt fait de la dis- atténuée pour manifester qu'il lui én perser par mes extrayagances. cotau de. filtre cètte démarche. Rien — Qu'est-ce que celà fait? dans sx ‘mise et dans sa tenue ne — Vous êtes trop dous, trop ‘bon et devait faire offense à de Lurieux. n ce qu'il me faudrait, ce serait un mari . gel rurales énergique, violent, dont je subirais l'as- Sue, | , cendant, devant qui je tremblérais de : bre epoque ess cer cs pres peur de lui déplaire, de lui inspirer un ai ss d pa ed Ps ai- soupçon, de susciter sa colère. A moi _ Se à ve Pa des 7e bise: aussi, fl me faut un guide puisqu'il ne gp 6 jy re reg méiner passe que de folles idées dans ma tête, see avbe ton ° sé ba puisque tout ce qui est équivoque, trou- : M e approprié, ble, malsain, oblique, m'attire. Que évitant la solennité autant que la fa- VOL vou, POI OU Gps 1e OR Er PIE les insormmies de cha- de ma mère, un exemple pernicieux| … k ° sous les yeux: celui de mon oncle et Què auit ne terminaient, pour Jacques, de ma tante qui n'ont pas d'autre souci arbre pin roesË ie ss “4e que celui de paraître, d’éblouir, de jeter du'il lui faudrait, tôt ou tard, exée de la poudre aux yeux, de mentir pour | ont il me voyait que de vatt sovaché faire croire qu'ils ont de belles rela- et épin Pour.se Aibérat.dinne pré- eee ..e ie bien Lagon occupation lancinante, pour quille som- et %e cg Fi = dé Sant | meil vienne fermer sa paupière, pour parle en cet instant avec sincérité, ha- means à 8 gr bed roÿabnors) bifuée que je-auis à mettre un masque | qui suit les nuits agitées, Bonniè- sur m?s sentiments et à farder mes pa- res ,dans la mollesse et la tiédeur du
roles. C'est urie grande preuve d'in- lit, dans la nonchalanée de la posi- térég et même d'amitié que je vous {in horizontale prenait la décision
donue, moi qui r'ai véou que dans l'hy} d'aller faire; l'aube, saus' réintssiom pocrisie, par cet excèscde :ftanchisd A déclarattéf qu'il avait promis de M. Bonnières, je ne vous aime pas, fatre à dc Lurieux. :
parce qu'on a voulu me contraindre à vous aimer ou tout au moins à vous
. Maïs à éon réveil 11 ne se sentait
äs en train. Y ne se souvenait plus faire croire que je vous aimais. Delqe chrascs qu'il avait préparées avec plus, j'aime un jeune homme quiiest | {unt de “soin, en pesant la valeur de loin d'avoir vos qualités, vos mérites chaque mot. {1 sentait que, s'il se
et votre fortune; mais je l'äimé parce | trouvait en présence de son protecteur que je suis sûre que ce penchant sera ! &t ami, 1 ne saurait que lui dire; {l
désapprouvé de mon oncle et de ot demourerait stupide et, s'il tentait de tante; et que c'est là une façon à moi! parler, sa voix ui resterait dans le de me venger, de renverser leurs pro- rosier. | jets, de déjouer leurs intrigues et leurs Les hésitations, les perplexités le dé- fourberies. , chiraient. 11 n'avait plus de goût à — Mademoiselle, je vozs remercie | 4{vre et se sentait guetté par la neu- de votre franchise. Votre décision in6 | rasthénie. $ A: È fait-de_ la peine, je m'étais résigné"h{ Chagüe Jour, il.rémettait sa démar- me plier docilement aux suggestions | che au féndemain. 11 n'eût pas été de votre oncle et cela pour en finir |plus contrérié ni plis matheureux s'il avec um état de célibataire qui ne peut | avait été poussé: par une violente pas- pas indéfiniment se prolonger. sion, à franchir les derniëres limites Je me Jaissais aveugiément guider; | de sa timidité et à demander lui-même je n'avais pas un effort à faire, pas une | une jeune fille en mariage. C'est le décision ni une responsabilité à pren-| contraire qu'il devaft faire et fl s'était dre. Sans pne démarche, sans ‘avoir | condamné à le fafte, par une parole
Notre-Dame du Lec, Ont.
“Je me sens heureuse parce que la santé m'est revenue et ue les Pilules Rouges m'ont onné les forces nécessaires pour m'occuper seule de mon ménage sans trop de fatigue. Je ne souffre plus de l’esto- mac; je puis manger ce que je veux, toutes sortes de lé- umes, sans être incommo- ée. Je ne pensais pas reve- ‘ mir dans cet état jamais. J'étais bien malade ét on m’a- vait dit que je ne guérirais jamais, Je crois qu’il n’y avait que les Pilules Rouges ie obtenir ce résultat”. me B. Bagrette, Notre- Dame du Lac, Ont.
“J'étais si faible et si souf- frante de douleurs internes. que souvent j'étais dans l’im- possibilité "à vaquer à mes occupations. Les Pilules Rouges que j'ai prises m'ont rapidement tonifiée et, au bout de quelques semaines : de traitement, je me trouvais ‘bien. Maintenant, lorsque
je sens mes forces diminuer, j'ai recours aux Pilules Rou-
nigan Falls, P. Q.
“Je suis restée au lit pen- dant quinze semaines après la naissance d’un de mes en- fants. J'étais d'une extrême faiblesse et j'avais bien peur de mourir. Enfin, j'ai em- ployé les Pilules Rouges qu’une parente m'avait re- commandées. Les premières boîtes que j'ai prises ont rele- vé mon appétit; les forces me sont revenues et, après
uelques mois, ma santé tait bonne”. Mme Alphon- se Royer, 24, Forrest Dover,
D .
CONSULTATIONS GRATUITES. Les méde- cins de la Compagnie Chi- mique Franco- Américaine dopnent des consultations gratuites à toutes les femmes qui viennent les voir ou qui leur écrivent.
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a plupart de nos contemporains, l'in- nocente manie de vouloir marier les gens. Avez-vous remarqué combien il y ace personnes qui s'emploient à vooir marier les célibataires?
— J'ai même remarqué que ce sont toujours celles qui n'ont pas à se féli- citer d'être elles-mêmes mariées qui veulent lancer les auires dans l'aven- ture! On croirait qu'elles sont secrè- fourd'hui tous ceux qui ont encore des jeunes gens libres et heureux. Enfin, bref, mon oncle n'a pas cette faibles- se, je dois le reconpaitre et s'il Nqut que je vous épouse, c'est parce qu'il vous sait fortuné.… | |
— Ce sont là, Mademoiselle, des sen’ timents dignes de respect et qui té- moignent du réel intérêt que vaire oncle vous porte. Il souhaite que vous ne counaissiez jamais les cruels tour- ments de la pauvre.é, quoique, : 7x votre tournure et tous les agréments de votre personne et de votre esprit, vous puissiez vous faire l'arbitre de votre destin et choisir un époux qui soit tout à fait selon vos goûts.
— Enfin, vous, est-ce que vous m'ai- mes, oui ou non?
— J'ai pour vous une véritable sym- pathie, née peut-être de la reconnais sance qué je dois à votre oncle pour toutes ses bontés à mon égard.
— Et vous voulez m'épouser?
— Je vous avoue que je n'y aurais jamais songé si de Exrieux ne m'avaît fait comprendre que vous êtes bien la femme qu'il me faut. le taet avec lesquels vous prenez pré- sentement le soin de vouloir me dé- montrer que je reste: d'a- gtr comme il ms DE ANSE LS Brad dre consell que de moi-méme, plaideut
eo
‘
La délicatesse.
votre femme.
— Ah! ;
— Non, cela” n'est pas possible, je -YOuSs assure.
— Pourquoi?
— D'abord, parce que cela procure- rait-dh.contentement à mon oncle ét que je ne veux jamais lui donner la moindre satisfaction. Il m'a trop hu- miliée, trop maltraîtée, trop obligée à me replier, à me contracter et à feindre. Et puis, je ne veux pas me marier,
— Ah! moi qui croyais. surpris, étonné, déçu...
Je suis Croyez bien,
Quand les femmes souffrent
Cherchez la faiblesse et la mauvase santé. Cherchez s’il n’y a pas mal de tête, nervosité, mélancolie. Ces symptômes sont la ve que vous avez besoin Pilules du docteur Hamihon. Ce remède est un grand ami des femmes. Elles donnent un merveiHeux soula- gement dans les cas de consti- pation, mettént fin aux maux de tête, chassent les poisons et tes matières nocives que con- tient l'organisme. Filles et fem-
‘mes peuvent, user avec grand
succès des Pilules du docteur Hamilton. Des milliers n’usent d'aucun autre remède et comp- tent absolument sur des Pilules du docteur Hamiälton pour ré- gulariser leur organisme et le maintenir. en bon état. 25 sous
- [chez tous les marchands ou The
bars samtaid Co., Montréal. ,
L u
accompit une seule des corvées qui hé-
le presserait, s'efforcerait de le r revenir sur une décision qui lui trait snugrenue et incompréhensible. . “Que je suis bête, pensa Bonnières, este que le moment n'est pis xenn
de me servir de mbh auio et de Ailer
à l'anglaisé, vers des contrées incèn- nues? Allons voir les paysages déh- cieux, les oasis adorables que la terre
suspend à sa ceinture pour plaire au) ”
soleil, son époux. Faisons une fugue imprévue. S1 je préléxtals nn voyage, . par chemin de fer, 11 me faudraiten indiquer le but et de Lurieux serait capable de me poursuivre et de m'at- teindre. Rien à craindre en auto! Cet- te eureusé inspiration va me délivrèr de mes ‘appréhensions et de mes lourds soucis; la Providence a pôür moi, décidément, des bontés partieu- lières… A quoi me servirait, d'ayoir une autc, si c'est pour la laisser stag- nante, dans la léthargie de son .bhap-. gar?" .» e'
Cette résolution, à mesure qu’il l'en- visageait, lut paraissait de plus 'en plis séduisante. Rien ne lui semblait plus ; simple que de sortir de l'impasse où il se croyait enfermé. 11 confieraft ‘#n lettre. à une boîte, à l'instant précis de— son départ, au.moment où le! rñdteur ronfierait déjà; et, quand de Lurieux
‘la lirait, il serait trop loin pour rêce-
voir les éclats de l'explosion d’étonne-
Joyeusemént, Jacques fit ses ratifs. L'âme légère, le voeur bon sant, Ïl se frottait les maine de faction et sifflotait dés airs agrédblés |: én songeant qu'il allait s'évader : préoccupations amoureuses impos par la seulé volonté ét le seül : d'un’ ami obligeant; qu'il allait devenir libre, indifférent à tout et à tous; échapper À un mariage tn‘ peu foreé qui no Jui avait inspiré que de troubles alarmes et des effrois {rra songnés; sortir d'un -engrenage où 11 s'était laissé prendre par mégardé"èt filer, filer loin des esclavages, vers la radieuse liberté... * g s
Sa Hoie ne füt fias de longue durée. Il prévoyait que ke voyage ne sera)t pas éternel, qu'il reviendrait bientôt, qu'il s'embêteralt à nouveau phisqt'en somme, {1 Ctait inutile sur la terre et bon à rien. 11 prévoyait qu'un für serait obligé de se marier, quand la solitude lui paraîtrait trop insuppor. : table. 11 lui faudrait alors falté Ulie démarche autrement ennuyeuse celle suggérée par Madeleine. fi faudrait se présenter devant une jette ‘fe, lui parler, la conduire à l'autel; puis, après, durant toute la vie, tfüu- ver des sujets de conversation pour la distraire et l'occuper. Rien’ qu'a l'idée de faire une déclarâtion à ne jeune fille, 1} avait le trac. -: 2"
FÉES
»
*
ment que cette lettre engendféflil” ;
Lt —.
°
*
A l'heuré choisie par lui fur rée |
complissemient d'une résolutfon, il te
rissent le mariage d'aspérités, j'allais
Maintes fois, il consulta te sort, jeta être marié, heureux, tranguille.… :
une pièce de monnaie en l'air après
— Est-on heureux et tranquille, s'être dit: “Si c'est “face”, j'irai voir
quand on n'est pas ainé? Songez à | de Lurieux aujourd'hui”, ce que serait votre existence aux côtés | tournoyé dans les airs, la pièce de mon- d'une étrangère à qui vous ne pour-]naie, prise pour oracle, disait “face”, riez confier ni vos rêves, ni vos pen-|et Bonnières cherchait aussitôt un pré- sées; qui ne comprendrait ni vos tris | texte pour surseoir à £a résolution. tesses, ni vos joies; qui aurait .cons- |: Il'faut pourtant que je me décide, il lamment en votre présence, .des ges- | faut en finir avec cet ennui, pensaitAi tes, des mahifestations delgoûts, de let fl devint plus ferme: “Je me pré- pensées, d'opinions, d'éducation qui!senterai dimanche prochain devant de vous chogueraient. Larieux.… Allons bon, dimanche je Voulez-vous bien ne pas pleurer, gros | suis empéché par des obligations mon- béta. ; daines. Lundi alors, sans faute. — Si, je veux pleurer; ‘laissez-moi | Hélas, le lundi, je ne suis jamais en Que voylez-vous, moi, je crois que je[traïn.… Alors ce sera pour mardi fr: vous aime maintenant. ‘Que vais-je }révocablement. 7 devenir? Ne vais-je pas commettre tne {:1pru- — Vous demandereZ en mariage une |dence? J'ai toujours remarqué «1e jeune fille de votre mêhde, que vuas | Ce que j'entreprenais le mardi ne réus aurez choisie, qui voÿs plaira sans |sissait jamais Mercredi, alors? Bon, arrière pensée. G mercredi je dois aller à Saint Cloud, — Vous savez bien que je n'oserai | Pour faire un peu de footing dans lé jan: parc. Jeudi,/je ne suis pas HNbrei
— Pour vous aguërrir, commencez | vendredi non plus; samedi est un jour |
par-intcrmet mon onele que vous ne | néfaste...
m'aimez pas, que vous ne voulez .pas | . Enfin, Comme fl faut que jé prenne}
dé moi pour femme; que vous êtes [un parti, j'irai ftire ma déclar:..0n à fermement résolu à ne pas vous marier | de Lurieux le premier jour qu'il pleu encore... vera. ;
— Cette démarche me coûte beau-] Depuis longtemps, Bonnières était coup, je vous assure. | persécuté par sa promesse tyrannique
— Faitesla; je vous aimerai bien, | lorsqu'un jour {1 se dit: “Que je suis je vous en serai reconnaissante; je] bête! je n'ai qu'à écrire à de Lurieux. vous embrasserai. Faites-la pour moi, | 11 me sera beaucoup plus facile de lui pour me faire plaisir; c'est promis, | expliquer par lettre ce que j'ai à lui n'estce pas? Je puis avoir confiance | dire”.
en vous? = M be alors je j'essayerai, pour
d'y véndbtr: fe verrai;
venablement. Sa lettre écrite, il
vous étre agréable. Donnez-moi seu-|8ea qu'elle allait provoquer des deman-
,
L I rédigéz‘aussitôt vingt miysives vous promets | avant d'en (rouver une formuléé con
culaîft toüjours, 1! hésitait, soulévait des objections. É :
Au moment de partir, sa lettre écti- te, et prête à être confiée à la poste, il redouta de désobliger un ami qui
Après avoir | s'était efforcé de lui simplifier la lus
désagréable des corvées: celle de le marier. N'eûtil pas été préférable de Ë se confier simplement à de Lürleux, de lui dire: “Ta nièce exige que %e fasse cette démarche, mais tu pourras me chercher une aütre candidaté, ‘si tu ne parviéns pas à la décider!”
(À suivre) a ———_—
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des divers produits de l'industrie du radio. C'était merveille de constater les progrès qu'a faits cette invention durant les dernières deux années. On pouväit voir à l'exposition des instru- ments de transmission, de réception,
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par rapport à j'an dernier. Cette di- minution du nombre des membres
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Sphzberg. La dépêche ajoute que l'ex- plorateur, en revenant du pôle, fera le plus de chemin possible et que, s’il
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L'effectif total des unions interna- tionales, not-internationales, indépen- dantes ou catholiques était en 1924 de 260,643, ajors qu'en 1923 ce chiffre était de 278,000, en 1922, de 276,000. en 1921, de 315,200, en 1920, de 372,009, et en 1919, de 378,000.
Depuis six ans le mouvement va sans cesse en fléchissant dans la plu- part des pays du monde, y’ compris l'Angleterre et les Etats-Unis.
Une fête des martyrs Jésui- tes à Québec’
Québec + Les RR PP. Jésuites de Québec organisent de belles fêtes re- ligieuses pour solenniser ici le grand événement qui s'est récemment passé à Rome lors de la béatification des Jé- suites martyrs canadiens. Ces fêtes dureront trois jours et elles se dérou- leront ex la chapelle dè la maisonéies Jésuites. rue Dauphine, pour se ‘erml- ner le dimanche dans la nouvelle ba silique de Québec, où sera chantée une messe pontificale Ce triduum aurs
isininsimmtsmtenmmmmmmmmmsmmmmmmrmm na mnntenetentmnhimqenenennen
viron 15 miflioss de dollérs, duräat ls
L'oeuvre de la Propagation de la Foi a fait en France un nouvel effort en 1924. . |
En 1923, les recettes étaient arrivées À 5,861,458 francs, tandis qu'elles n'étaient que de 4641948 francs en 1922 Les dons recueillis À travers les diocèses de France s'élerèrent à
6.286,514 fr. 28 en 1924
L'oeuvre de la Sainte-Enfance a eu également ses recettes augmentées, comme le coût de la vie. Les offran- des versées par les diocèses de France s'élevèrent à 2,213,436 francs en 1924, sprès avoir été de 1,931,797 francs en 1923, et en 1922, 1,774,987 francs.
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Une maison aérienise | a fait pubiier Vans un journal l'annonce suivante à l'usage de messieurs les voyage désireux d'être inissés seuls: V
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Vépres à 7 h. 30. Mesvses sur semaine: 6 L. 45 et 5 n 30
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Messes du dimanche: 6 h. 15, h. 30, 9 &. et 10h. 30. Vépres: h pm. Messes sur semaine: b. 15, 6 h. 45 et 7 h. 30.
GIEUX A L'EGLISE DU SACRE-COEUR DE WINNIPEG
Coin des rues Lydia et Bas-
la ville de Winnipeg. R. P. Vézina, O ML, curé; R.
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